Fueled ( Fueled)
Auteur : K. Bromberg
Editeur : Hugo & Compagnie
Première parution (VO) : 2013
Dernière parution (VF) : 2015
Série : Driven (n°2)
Héros : Colton Donavan
Héroïne : Rylee Thomas
Pour se protéger de déboires passés, Rylee Thomas est toujours dans le contrôle d'elle-même jusqu'au jour où elle rencontre le seul homme qui, justement, pourrait lui donner envie de lâcher prise... Colton Donavan, un bad boy superbe, arrogant et ténébreux, habitué à obtenir tout ce qu'il désire. Une histoire d'amour torride entre une femme qui cherche à se reconstruire et un pilote de course intrépide, constamment sur le fil du rasoir, qui repousse toujours plus loin ses propres limites comme celles des autres.
Commentaires
Loulou (le 11/03/2017, lu au format papier, en VF)
Finkil (le 23/09/2017, lu au format ebook, en VO)
Spoiler alert ! Anglicismes à gogo et critique à rallonge. Sorry j’ai pas pu m’en empêcher, c’est trop bon. Si vous ne voulez pas vous spoiler le plaisir, lisez le roman (que dis-je la série) pas la critique.^^ Wow ! C’est quoi ce cliffhanger de ouf ?!!!! Ok je l’ai vu venir à un moment, mais l’auteur sait faire durer le suspense et monter la sauce. Et c’est là que je bénis l’inventeur de l’e-book.^^ Mais d’abord back to the beginning.
Wow ! Ca démarre fort : aucun temps mort par rapport au tome précédent, c’est comme si on poursuivait le tome 1. Ca démarre fort avec un prologue entièrement dans la tête de Colton. On a enfin un aperçu de ce qui l’agite et on comprend qu’il soit aussi fucked-up. On le serait à moins. J’avais deviné sans deviner. En même temps, comment deviner l’inimaginable ? I've fallen for Colton already but now I’m hooked et j’ai hâte de le voir s’ouvrir enfin et trouver le bonheur. Mais il va en chi** pour surmonter toute cette m**de. Ca y est je peux le dire : j’suis accro. Il aura fallu un tout petit chapitre magnifique qui vient à la suite de ce prologue déjà plein de promesses. Alors qu’on pouvait s’attendre à ce qu’ils broient du noir chacun dans leur coin pendant un temps avant de se retrouver et que l’un cède et tente le mode de fonctionnement de l’autre jusqu’à ce que ça pète, l’auteur prend un tout autre biais et ça fait du bien. Et là on a droit à une scène absolument magnifique qui réunit tout : la souffrance, le désespoir, la vulnérabilité, la compassion, la tendresse, la sensualité et bien sûr la passion, et cette urgence que j’adore par-dessus tout. *sigh* Je fonds, je rêve (même en plein jour) et j’en veux encore. Après ce démarrage en trombe, on part sur une période un peu plus calme - limite planplan, histoire que mon petit coeur se remette de tant d’émotion, mais évidemment ce n’est que le calme avant la tempête. Et tout le roman n’est qu’une succession de périodes calmes et de temps forts. Ces périodes calmes font aussi la part belle à la sensualité qui ne manque pas - c’est chaud ! En parlant de ça, petit aparté : tout comme dans le premier opus, je préfère les scènes de baisers (sublimissimes) aux scènes de bai… parce qu’elles ont tendance à verser un peu dans le porno, un peu trop à mon goût. Quand une certaine scène me fait penser à «Sandy et Steeve sur la Feurrari rouge» (Harlequin, Champion de l’amour - pour celles qui connaissent ;-p) eh bien comment vous dire, ça casse un peu le truc. Too much quoi. Voilà pour l’aparté. Les temps forts l’emportent largement et montent crescendo : d’abord une vaguelette, puis une lame de fond jusqu’au déferlement ultime qui ravage tout sur son passage. On a bien sûr droit à toutes les crises habituelles dans ces cas-là : la peur du commitment, la peur du «je t’aime», la jalousie - au pluriel comme toujours - et bien sûr les BigMis qui vont avec ; et cette petite provocation de dernière minute, on en parle ? Et cette scène de «séduction» borderline ? Non parce que finalement ça n’a pas du tout terni l’image de mon héros. On pourrait craindre un côté trop prédivisble et répétitif - et il y en a surtout lors de ce déferlement final qui tourne en boucle pendant une bonne partie du roman, et en même temps bizarrement ça ne m’a pas gênée parce qu’à chaque fois que je m’attendais à une chute au regard de ce que je connaissais de ces romans-là, eh bien l’auteur arrivait à me surprendre. Encore une fois, on a quand même une héroïne pas du tout doormat et qui n’hésite pas à remettre son homme à sa place, y compris quand il invoque ses faiblesses. Une seule chose que je pourrais lui reprocher : comment peut-elle croire aux mensonges de The Bitch ? Et lui comment/pourquoi la tolère-t-il encore dans sa vie ? Et comment peut-il être aussi aveugle ? M’enfin je lui pardonne parce que je l’adore. Voilà c’est dit. Bienvenu dans le pantheon de mes book boyfriends. J’adore son côté playful, son côté arrogant (et on a enfin le fin de mot de l’histoire concernant Ace - ce petit jeu de devinette, je dois dire, est juste jouissif), sa vulnérabilité à fleur de peau, son côté «douloureux», un peu moins sa fierté mal placée, c’est vrai, qui le pousse à ne pas dire ce qu'il s’est vraiment passé (elle ne lui en laisse pas beaucoup la possibilité, c’est vrai aussi, mais quand même bâts-toi plus) ; quant à cette petite provocation, là je dis non !!! Mais bon ça se termine en apothéose totale avec cette déclaration sublime *sigh* et ces trois petits mots qui s’en être les vrais en révèlent tellement plus. Et de me demander ce qui va se passer ensuite. Nan en fait j’en ai une bonne idée : cet homme mystérieux n’est sûrement pas apparu par hasard, et puis il reste le Big secret, et le très-certainement-à-n’en-pas-douter Secret baby qui va engendrer la non-moins certaine ultra Big crise ou l’ultime BigMis qui amènera à la Big confession et la Big déclaration or the other way around. Et The Bitch, en a-t-elle fini de ses manigances ?… A moins que l’auteur ne me surprenne encore. Mais d’abord il faut en passer par ce Big cliffhanger : juste une petite frayeur en feu de paille ou un cataclysme lourd de conséquence. Je brûle de le savoir. Béni soit l’inventeur de l’e-book. Trois gros coeurs avec un gros + pour ce roller-coaster d’émotions et cet accompagnement musical qui ajoute encore un degré d’intensité quand on se donne la peine de lire les paroles.
Jozie (le 01/01/2018, lu au format ebook, en VF)
Bien meilleur que le premier !
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