Auteur : Barbara Leigh
Editeur : Harlequin
Collection : Les Historiques
Première parution (VO) : 1991
Dernière parution (VF) : 1993
Contexte : Angleterre, 1299.
Jade2012am (le 16/12/2014)
Suzy972 (le 24/10/2015, lu au format papier, en VF)
HORREUR DE CHEZ HORREUR je me rappelle l'avoir lu il y a longtemps et tout ce que je peux dire c'est que cela a été poubelle parce que je n'ai pas du tout aimé. Un héros marié qui abandonne femme et enfants, même s'il n'a jamais été amoureux d'elle, cela je peux comprendre, mais ne pas avoir même un pincement au coeur en laissant ses enfants derrière lui pour partir avec sa jeune maîtresse, ce n'est pas romantique du tout. Enfin c'est mon opinion à moi. De toute façon il n'y avait rien de transcendant.
Titanicus (le 13/02/2021, lu au format papier)
J'adore ce roman car il est très original. L'héroïne se fait passer pour un homme pour survivre et tourmente le héros, Connaught, qui, troublé par la beauté de ce chevalier, se croit homosexuel. L'évolution des sentiments est bien décrite, on comprend le choix de Dru de cacher son véritable sexe mais elle ne réalise pas le sacrifice que fait Connaught, par amour pour elle, de passer aux yeux de ses proches pour un homme qui aime les hommes. Ce que je trouve amusant c'est que Dru devient finalement misogyne puisqu'elle critique les femmes (de seigneurs), trouvant leurs discussions inintéressantes et leurs activités de maîtresses de maison ennuyeuses. Je pense au contraire que ces femmes qui devaient penser à tout (provisions, cuisine, chauffage, ménage, etc...) avaient bien plus de mérites que ces chevaliers qui se contentaient de se battre. En tout cas, je vous le conseille, c'est une très bonne surprise.
Forest (le 15/09/2021, lu au format papier, en VF)
A Suzy972 : Non, le héros n'abandonne pas femme et enfants pour rejoindre sa maîtresse. Il reste un valeureux chevalier et n'enfreint pas les règles de son ordre. Je ne peux donner plus de détails au risque de "divulgâcher".
Et pour répondre à Titanicus, je ne crois pas que les femmes avaient plus de mérite. Chacun des sexes portait sa croix. Les hommes, guerriers, en se faisant occire souvent dans des carnages sans nom, n'étaient pas moins méritants que les femmes, qui elles perdaient souvent la vie en la donnant.
C'est la première fois je crois que je note trois cœurs.
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