Auteur : Juliette Benzoni
Editeur : Pocket
Collection : Roman
Première parution (VO) : 1980
Dernière parution (VF) : 2003
Série : Le Gerfaut (4) (n°3)
Nombre de pages : 539
Sandrine (le 10/07/2002)
Rémi (le 09/08/2002)
Marion (le 23/11/2002)
Myrka (le 16/07/2003)
Encore moi, eh oui, j'ai réussi à avoir le troisième, et croyez moi je l'ai lu en même pas deux semaines, et pourtant je suis une femme occupée mais c'est très dure de quitter une lecture palpitante. Je dis encore bravo à Juliette pour ce tome trois, il reste seulement le quatrième, j'ai hâte.
Katherine (le 23/04/2005)
C'est palpitant !!!
Alisonchris (le 11/06/2005)
Meilleur que le deuxième, ça n'arrête pas une minute, je me suis régalée, mais je persiste à penser que le héros se donne beaucoup de mal pour une héroïne qui ne le mérite pas.
Cem (le 28/06/2005)
Ptitepuce (le 25/08/2005)
Enath (le 22/10/2007)
Vite la suite !!! Est-ce que Gilles et Judith vont enfin être réunis ??
Fouine (le 13/12/2007)
Pas de temps mort, et le héros est à croquer...
LaetiFleurBleue (le 20/06/2008)
Cela repart un peu, même si le soufflé peine un peu à remonter... On retrouve Judith qui m'a bien déçue ; elle continue de s'évanouir à tout va, est toujours aussi belle, elle pourrait être assimilée à une femme de mauvaise vie mais ne l'est pas car elle se réserve pour son amoureux, qui n'est plus le beau chevalier au torse musclé, bronzé et couturé auquel elle est mariée, mais un autre, un charlatan qui la trompe dans tous les sens du terme. Et Gilles pendant ce temps-là ? Il se bat, il a des aventures, il finit quand même par trouver le trésor de ses aïeux et, ébloui par une oie blanche, pense même à abandonner Judith.
C'est un peu long, car on attend la confrontation et les retrouvailles qui n'ont lieu qu'à la toute fin.
Lilly (le 10/11/2008)
Il me semble que vous êtes injustes avec Judith. J'admets qu'elle a fait beaucoup d'erreurs, mais elle n'est pas la seule à devoir être blamée. Gilles ne me semble pas parfait. Comme il est le héros de l'histoire, il bénéficie de l'indulgence du lecteur et on voit la situation de son seul point de vue. Mais trouvez-vous vraiment sa conduite exemplaire ? Il prétend aimer Judith, mais ne se gêne pas pour la tromper avec la première venue. Il trouve normal que Judith l'attende en se morfondant dans un couvent, en le croyant mort, pendant que lui s'offre du bon temps avec Anne de Balbi. Et ensuite il vient reprocher à sa femme de faire la même chose.
Mdj (le 09/07/2009)
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