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Shannon McKenna - Interview

Les Romantiques - 31/12/2014

Shannon a déjà été notre auteur à l’honneur, dans notre numéro d’avril 2012. Si vous voulez en savoir plus sur son parcours, vous aurez des informations dans l’article. Je l’ai rencontrée à Matera en septembre dernier, et c’est avec joie qu’elle a accepté de répondre à nos questions pour le webzine.

1 – Bonjour Shannon, merci pour votre participation. Comment allez-vous depuis Matera ?
Je vais très bien merci – mais Matera me manque ! Cette conférence est mon petit plaisir annuel. Je peux sortir et être extravertie, ce qui ne fait pas partie de mon quotidien – c’est comme une fête de quatre jours pour moi ! Ensuite je rentre à la maison et je me blottis à nouveau en boule dans ma grotte, et je rêve à l’année suivante !

2 – Vous avez toujours aimé lire de la romance. Est-ce que vous vous rappelez de votre première romance ? Qu’est-ce qui vous a fait aimer ce genre littéraire ? Quelle est LA romance que tout le monde devrait lire ?
J’ai commencé très jeune, donc c’est flou dans ma tête, mais j’avoue, j’ai lu une tonne de Régences de Barbara Cartland à l’âge tendre de dix-douze ans. Beaucoup de ducs et de comtes, et de blondes jeunes filles malmenées, avec de grands yeux, un cœur et une âme purs, toutes attendant patiemment d’être secourues et transformées en duchesses. (Dans mes livres, l’héroïne doit toujours pleinement participer à l’anéantissement du méchant ! C’est une règle !) En grandissant, j’ai commencé à m’intéresser aux torrides bodice rippers historiques des années 80. Les pirates, les boucaniers et les Vikings, et les joueurs de cartes sur les bateaux à vapeur, qui enlèvent et déflorent vaillamment de jeunes vierges. Très politiquement incorrect. Je suis sûre que j’en ai été marquée pour la vie, et j’ai adoré chaque minute coquine.

J’avais l’habitude de lire des tas de romances, mais plus je vieillis et plus je semble devenir sélective. Le sous-genre importe peu – j’aime le contemporain, le suspense, les westerns, les médiévaux, les Régences, etc. Pour moi, la chose la plus importante c’est l’intensité émotionnelle. Les personnages doivent désespérément se soucier de ce qu’ils font, et les uns des autres. Si cela n’est pas évident, je perds tout intérêt. Mais la triste vérité, maintenant, c’est qu’à courir frénétiquement après deux enfants, je n’ai pas beaucoup le temps de lire. C’est un problème. C’est si difficile d’écrire sans pouvoir lire. Lire, c’est comme la nourriture. Mais je m’en sortirai… et je lirai à nouveau ! Etre mère en vaut la peine.

Si je devais choisir une romance préférée, eh bien… Je ne suis pas sûre que vous puissiez l’appeler une romance, parce qu’il transcende le genre, mais je suis une accro absolue de la série Outlander de Diana Gabaldon. Et j’adore les formidables séries historiques de Lisa Kleypas, toutes. Et Emma Holly a un super duo d’historiques romantico-érotiques intitulés Beyond innocence et Beyond seduction (Au-delà de l’innocence et Passion à nu – J’ai lu pour elle Passion Intense 2014) qui auront toujours une place d’honneur sur mes étagères. J’adorais les romans de Jayne Ann Krentz/Amanda Quick, et aussi la série Western Only d’Elizabeth Lowell. Ce sont mes lectures de réconfort.

3 – Ultimate weapon (L’ultime passion), sixième tome de la série Les frères McCloud, est publié ce mois-ci. Comment avez-vous eu l’idée de la série ?
La série a naturellement surgi dès le premier tome, Behind closed doors (Derrière les portes closes – J’ai lu pour elle Passion Intense 2012), qui a mis en scène les frères McCloud, dont je suis instantanément tombée amoureuse et par qui j’ai été profondément intriguée. Tam Steele, l’héroïne d’Ultimate weapon, était présente dès le premier tome de la série, donc j’étais curieuse à son sujet dès le début. Chaque nouvelle histoire apparaissait comme l’inévitable répercussion de celle d’avant – et c’était la même chose avec Ultimate weapon. C’a été un livre important pour moi. Tam est l’héroïne la plus difficile et la plus problématique que j’aie jamais osé créer – une méchante de James Bond croisée avec Lara Croft de Tomb Raider. Elle est mystérieuse, dangereuse, avec des cicatrices cachées et des objectifs insondables, et j’étais aussi fascinée que terrifiée par elle. Si jamais elle me rencontrait, elle me jetterait un coup d’œil et verrait toutes mes insécurités, mes points faibles, mes côtés insipides, les moments où je ne suis pas complètement honnête avec moi-même, et elle me considérerait immédiatement comme quelqu’un qui n’est pas digne de lui faire perdre son temps. Et que dire de ce qu’elle penserait de mes vêtements, de mes chaussures et de ma forme physique. Mais n’en parlons même pas.

Pourquoi ai-je créé une garce aussi effrayante et en ai-je fait l’héroïne de mon livre, me demanderez-vous ? Je me suis posé cette question pendant des années, hésitant sur la réponse pendant que son personnage prenait lentement forme dans les différents tomes de la série. Comme je n’avais pas pensé à elle en tant qu’héroïne dans les premiers tomes, je n’avais suivi aucune règle ni convention en l’imaginant. Je n’étais liée par aucune des contraintes de la romance. Les héroïnes doivent généralement être sympathiques, au minimum. C’est une sorte de règle. Mais Tam est une briseuse de règles. Quelque part dans le livre, j’ai réalisé que j’écrivais au sujet de ma propre ombre, une vilaine fille que je voulais secrètement être. Puissante, rusée, intelligente et intrépide, sans complexe sexuel, se fichant éperdument de ce que les gens pensent d’elle. Tellement libre. Elle ne s’excuse auprès de personne, jamais. C’est un cas particulier et une hors-la-loi. Mais comment rendre cette créature effrayante, presque divine, suffisamment humaine pour lui écrire une histoire d’amour, et lui donner une fin heureuse ?

La réponse est venue spontanément, à la fin du livre précédent, Extreme danger (Au cœur de l’extrême – J’ai lu pour elle Passion Intense 2014). L’équipe McCloud, avec l’aide de Tam, sauve une poignée d’orphelins Ukrainiens, condamnés à la mort aux mains d’ impitoyables trafiquants d’organes, et à la fin la petite Rachel, âgée de trois ans, fait ses premiers pas les bras tendus vers Tam, dont elle a décidé qu’elle devrait être sa mère. Tam ne peut pas dire non, pour une tonne de raisons compliquées et douloureuses que j’ai découvertes pendant l’écriture du livre. Le lien soudain avec Rachel a été la fissure dans son mur infranchissable – un côté tendre qu’elle n’avait jamais montré auparavant. Je suis tombée dedans, comme par une porte, droit dans le passé et la vie intime de Tam. Mon Dieu, j’adore mon métier.

Le défi suivant était de penser à un homme qui ne serait pas écrasé par elle. Il devait être tout aussi dangereux qu’elle, et tout aussi marqué par un passé peu glorieux, ou cela ne pourrait jamais fonctionner entre eux. Il ne peut pas la juger pour ce qu’elle a fait sans être un hypocrite, et vous ne rencontrerez jamais un héros de romance qui soit hypocrite. L’hypocrisie n’est absolument pas sexy.

Pour corser le tout, c’était la première fois que je m’aventurais dans l’Italie du Sud dans un de mes livres. L’Italie du Sud est fondamentalement marrante, et ce livre avait désespérément besoin de moments plus légers. Au final, ce fut une grande aventure pour moi, personnellement – et j’espère de tout mon cœur que mes lecteurs en France l’apprécieront aussi !

4 – Aviez-vous prévu d’écrire autant de livres quand vous avez commencé Behind closed doors ? Qu’est-ce qui vous a décidée à écrire onze tomes ? Savez-vous, pour le moment, s’il y en aura un autre après In for the kill ? Pourquoi sentez-vous qu’il est temps d’arrêter cette longue et populaire série ?
Je ne le savais absolument pas ! Je ne savais pas du tout que Behind closed doors démarrerait une série ! C’était un heureux accident. Si je l’avais prévu, je vous le promets, je l’aurais bien mieux planifié ! Je me suis fourrée dans des impasses dont j’ai eu du mal à me sortir, en établissant certains faits dans les premiers livres qu’il était incroyablement difficile de contourner. Et j’ai juste continué à écrire des tomes dans la série parce que les personnages que j’y ai rencontrés m’enquiquinaient jusqu’à ce que je le fasse ! Beaucoup d’entre eux étaient des surprises totales pour moi, comme Nick d’Extreme danger. Ce livre est sorti de nulle part. J’avais prévu que ce soit une novella sexy et courte, et c’est devenu ce gros livre terrifiant.

En fait, j’avais prévu de terminer cette série plus tôt, mais je me suis attachée à Aaro, et Miles, et Sveti lorsque j’ai écrit des scènes de leurs points de vue. Une fois qu’ils sont devenus clairs dans ma tête, ils ont juste continué à se développer. J’ai écrit une scène du point de vue d’Aaro dans Fade to midnight (sortie française prévue en mai 2015), et à partir de ce moment il m’a hantée, comme un homme de main de la mafia qui voulait son histoire maintenant, sinon il allait me casser la figure.

J’ai adoré Miles dès le moment où il a trainé ses guêtres dans Standing in the shadows (Au-delà de la trahison – J’ai lu pour elle Passion Intense 2012) et est tombé entre les griffes des frères McCloud, ébloui par la lumière. Et la noble, désintéressée, héroïque Sveti méritait vraiment son propre happy end. J’aurais été bourrelée de remords à vie, si je ne lui en avais pas écrit un. Donc la série était déjà devenue beaucoup plus longue que prévu !

Vue la manière dont j’écris, chaque livre est de plus en plus compliqué, parce que les personnages des précédents débarquent, et interviennent, et donnent leur opinion. Tam contrarie tout le monde, et Sean est là, à faire des remarques sarcastiques, et les bambins courent partout en criant et en faisant des bêtises, et le tout devient juste incontrôlable. Mais ils me manqueront tellement. Quelle équipée sauvage cela a été.

In for the kill sortira aux USA le 27 janvier 2015, et c’est l’histoire de Sveti et Sam, très attendue. Sveti va finalement faire face aux démons de son passé, et Sam est l’homme qu’il faut pour l’aider à le faire. Il a fallu du temps à Sveti pour qu’elle évolue ! J’ai tapé des pieds pendant des années, attendant qu’elle aille de l’avant. Les gens m’ont demandé son histoire depuis que j’ai écrit Extreme danger, et je ne pouvais que leur répondre : soyez réalistes ! La pauvre fille n’a que quinze ans ! (Ou l’âge qu’elle avait quand ils posaient la question.) Je ne veux pas spoiler, mais ceux d’entre vous qui lisent en anglais peuvent lire un extrait posté sur mon site internet ! Le livre est épais et sexy et effrayant, et plein à craquer d’émotions intenses. J’en suis très fière. Je pense qu’il clôt la série McCloud avec un gros et fracassant boum, et une pluie d’étincelles multicolores.

5 – Ecrire une série avec un autre auteur, de préférence un très bon ami, est à la mode. Est-ce que vous prévoyez d’en écrire une avec Lisa Marie Rice, ou un autre auteur ? Pourquoi ?
Je n’ai jamais vraiment envisagé d’écrire un livre avec un autre écrivain, mais si je devais le faire un jour, ce serait certainement avec Lisa Marie, parce que nous nous comprenons profondément l’une l’autre, et nous avons un formidable respect mutuel. Cependant je pense que ce serait dur à faire, parce que le processus pour moi est tellement personnel, et mystérieux. Mais je ne dis jamais jamais ! On doit continuer à apprendre et essayer de nouvelles choses. Une chose qui serait marrante, ce serait de partager un univers, et d’écrire des histoires avec des personnages qui interagissent entre eux. Beaucoup de gens font ça aussi. Lisa Marie et moi avons lancé ce genre d’idées en l’air par le passé.

6 – De manière générale, comment travaillez-vous sur l’évolution des personnages principaux dans un livre? Et à travers une série quand ils deviennent des personnages secondaires ?
Ils font la majorité du travail eux-mêmes, même si quelquefois ils prennent leur temps pour se mettre au travail. Souvent ils deviennent clairs d’un seul coup, au beau milieu du processus, quand je commence à désespérer qu’ils le fassent jamais. Et soudain, de silhouettes et de personnages fictifs, ils deviennent des personnes réelles et vivantes. Une fois que ça arrive, je les laisse juste prendre les commandes. Et dans les livres qui suivent, quand ils sont des personnages secondaires, le même processus s’applique. Le truc est de les garder en arrière-plan ! Ils ont tous des avis très arrêtés et ils sont volontaires, et il n’y a pas de place pour beaucoup de personnages secondaires dans un romantic suspense !

7 – Quel est votre processus d’écriture quand vous décidez de commencer à écrire un livre ? Est-ce que vos personnages vous font parfois changer d’avis quant à leur aventure ?
J’ai tendance à avancer dans le noir pendant que je trace les contours, mais j’essaie vraiment d’apprendre à planifier plus en amont. Ce n’est pas facile, parce que j’aime être surprise pendant que je travaille ! Mais je déteste me retrouver dans une impasse, ou quelquefois en haut de falaises abruptes ! J’écris beaucoup à la main, parce que j’adore le contact du stylo sur le papier. Il y a de la magie là-dedans, que je ne ressens pas avec un ordinateur. Ceci dit j’adore avoir un ordinateur ! Merci mon Dieu pour les ordinateurs, et Internet ! Et oui, mes personnages me font toujours changer d’idée. J’adore quand ils s’imposent et commencent à faire leur show. C’est là que les choses deviennent intéressantes !

8 – Quelle est l’étape la plus difficile quand vous écrivez un livre ? Et la plus facile ?
Réponse rapide – l’étape la plus difficile ? Toutes ! La plus facile ? Aucune ! Hah ! Sérieusement, cependant, c’est vrai. Tout est difficile. Au début, c’est la terreur de la page blanche, le fait que le livre soit encore potentiellement parfait, et à la minute où vous écrivez le début, toutes vos limitations et points faibles, et votre ignorance, et votre paresse vont saper cette perfection potentielle, ne laissant qu’une coquille bancale et croulante de votre vision originale.

D’un autre côté, une fois que le travail est fait, au moins il existe dans le monde physique et vous pouvez vraiment retrousser vos manches, y aller et le retravailler pour le rendre meilleur. Ensuite, à la fin du processus, quand vous êtes épuisée et détruite, vous devez le laisser sortir dans le monde, l’offrir, reculer et vous accrocher. Aucune partie du processus n’est facile à aucun moment. Comme j’aimerais que ça le soit !

9 – Si ce n’est pas indiscret, quels sont vos futurs plans ? Qu’est-ce que vous faites pendant vos loisirs ?
Eh bien, comme beaucoup d’auteurs, j’ai très envie d’essayer l’autoédition, mais j’ai encore envie de profiter des avantages merveilleux qu’apporte le soutien d’une maison d’édition, donc j’aspire à être ce qu’on appelle un «auteur hybride». Pour mes livres auto publiés, eh bien j’ai vécu un moment merveilleux avec les éléments paranormaux dans la série McCloud, et je veux inclure des éléments similaires dans de futurs livres.

Je suis en train d’imaginer une série, en ce moment, qui aurait comme héros un groupe de gens qui, lorsqu’ils étaient jeunes, ont été impliqués dans un programme d’expérimentations secrètes où ils ont été modifiés à l’aide de stimulations du cerveau, et par l’implantation de technologies, pour en faire de super agents/soldats. Ils ont réalisé juste à temps la portée criminelle des intentions de leurs expérimentateurs, et se sont unis pour se rebeller et s’enfuir. Maintenant ils sont tous adultes, avec de nouvelles identités et beaucoup de problèmes compliqués à cause de leurs améliorations et de leurs capacités spéciales – et que dire de la menace imminente de leur Némésis, la puissante organisation secrète qu’ils ont fuie. Je m’amuse beaucoup avec ça ! Je pourrais aller dans plein de directions plus folles les unes que les autres. Ce qui signifie la liberté, des possibilités infinies et des intrigues sauvages et scandaleuses à profusion ! Mon idée du paradis.

Pendant mon temps libre, j’adore chanter. J’étais chanteuse professionnelle. J’adore aussi jouer du piano, et lire, quand j’y arrive, et passer du temps dehors dans la nature, à regarder les arbres et les rochers et les insectes et la mer, à marcher sur la plage. J’adore les films aussi, mais j’ai rarement le temps d’en voir. Ma dernière excursion au cinéma a été quand j’ai emmené ma fille voir le dernier Hunger Games ! Très excitant. J’irais voir des films tous les jours si je pouvais. Miam.

10 – Un dernier mot pour nos lecteurs ?
Je dois juste dire à ceux d’entre vous qui ont lu mes livres, merci beaucoup d’avoir accueilli les McCloud et leurs amis dans vos cœurs ! Je suis heureuse et fière d’être publiée en France, et j’espère que vous aimerez les aventures sauvages de Tamara et Val quand elles arriveront chez vous !

Et passez un merveilleux Noël, tout le monde !

L'ultime passion
(Ultimate weapon)
Shannon McKenna
J’ai lu – Passion Intense
03/12/2014

Les frères McCloud, tome 6

Tamara Steele est une ancienne criminelle devenue créatrice de bijoux qui s'efforce d'élever sa fille adoptive de trois ans, Rachel, une petite orpheline ukrainienne qu'elle a sauvée d'un trafic d'organes. Mais elle a des ennemis : Daddy Novak, qui la rend responsable du meurtre de son fils, Kurt, veut sa revanche. Et un autre criminel, Georg Luksch, veut faire d'elle son esclave sexuelle personnelle. D'ailleurs il charge Val Janos de lui livrer Tamara, s'il refuse il s'en prendra à Imre, le vieil homme qui a recueilli Val alors qu'il n'était qu'un enfant abandonné dans les rues de Budapest. Le passé de Tamara et de Val est tourmenté, et bientôt l'un et l'autre succombent à l'attirance qui les unit irrésistiblement...
L’avis de Gwen : Bien qu’ayant lu certains volumes précédents, j’ai eu du mal à lire ce tome. Il a un bon rythme et une bonne intrigue, mais je ne l’ai pas trouvé passionnant. Il y a un peu trop de longueurs à mon goût, ce qui a rendu la lecture difficile et ralentit l’envie de tourner les pages. Même s’ils sont bien faits, bien décrits, je n’ai pas trouvé les personnages principaux attachants ni sympathiques. J’ai plus été touchée par le bébé (adopté par l’héroïne) et son passé. Peut-être est-ce le tome de trop, mais l’auteur voulait une fin pour les méchants et a décidé de l’écrire. En tout cas la famille McCloud reste attrayante, touchante. J’ai regretté qu’ils ne soient pas plus présents.

Page de Shannon McKenna.


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