Les Romantiques, le site francophone dédié au roman féminin

Auteur : K. Bromberg
Editeur : Hugo & Compagnie
Première parution (VO) : 2013
Dernière parution (VF) : 2015
Série : Driven (n°1)
Héros : Colton Donavan
Héroïne : Rylee Thomas

Pour se protéger de déboires passés, Rylee Thomas est toujours dans le contrôle d'elle-même jusqu'au jour où elle rencontre le seul homme qui, justement, pourrait lui donner envie de lâcher prise... Colton Donavan, un boy superbe, arrogant et ténébreux, habitué à obtenir tout ce qu'il désire. Une histoire d'amour torride entre une femme qui cherche à se reconstruire et un pilote de course intrépide, constamment sur le fil du rasoir, qui repousse toujours plus loin ses propres limites comme celles des autres.

Commentaires

Ruby (le 08/10/2015, lu au format papier, en VF)
Cote : 3

Excellent ! Colton est un héros sexy, charismatique, comme on aime. On a envie de le prendre dans nos bras pour le réconforter. Hâte de découvrir la suite de son histoire avec la charmante Rylee ;-).

Jozie (le 03/09/2017)
Cote : 1

Pas emballée par la personnalité de Colton, contrairement à Ruby, plutôt envie de crier à Rylee : fuis !

Finkil (le 23/09/2017, lu au format ebook, en VO)
Cote : 2

Spoiler alert ! Anglicismes à gogo et critique à rallonge. Sorry j’ai pas pu m’en empêcher, c’est trop bon. Si vous ne voulez pas vous spoiler le plaisir, lisez le roman (que dis-je la série) pas la critique. ^^ Alors oui il y a un gros sentiment de déjà lu parce que des héros fucked-up comme ça, il y en a à la pelle. Et oui tout est assez prévisible et je pense avoir deviné certains épisodes clés futurs. Quel est donc ce passé mystérieux de Colton qui le hante à ce point ? Mouais j’ai bien ma petite idée. Quant à cette infime chance de…, m’est avis que même avec une chance sur mille, elle va se réaliser et être source d’un énorme conflit. Mais peut-être que je me trompe après tout et que je vais être surprise, non ? Mais finalement peu importe et je suis définitivement une «lectrice facile» parce que je me laisse prendre (quasiment) à chaque fois par ce qui ressemble bien à une recette magique. Et de fondre et de fall pour Colton. Je n’en aurais pas fait le pari au premier chapitre, parce que Oh My quelle arrogance ! Seulement voilà le player a aussi sa face cachée, cette vulnérabilité bien enfouie, cet altruisme à l’égard des enfants - c’est encore mieux forcément - un chien aussi. Et puis n’oublions pas des cheveux ébouriffés en permanence, un regard vert translucide, et une intensité Oh My ! Et la combinaison de pilote - le dernier attribut oh so sexy - ne gâche rien. Et au milieu de tant de déjà-lu et de prévisibilité, il y a aussi de magnifiques scènes, comme ce date à la fête foraine *soupir*, la scène du club, la sortie au circuit de course - ah Colton dans sa combi de pilote - ou encore cette dernière scène chez lui. Sans compter toutes ces scènes de baisers, qu’ils soient tendres ou passionnés - on a droit à toute la palette - juste magnifiques (encore mieux que the real deal, je trouve). L’auteur sait clairement faire monter la température parfois avec juste un échange de regards - intense le regard (vert translucide contre améthyste, y a comme de l’électricité dans l’air). Aux côtés de notre héros player oh so fucked-up, il y a une héroïne tout à fait sympathique aussi, pas une oie blanche, qui ne s’en laisse pas compter (pas du tout une doormat comme j’ai pu le lire) mais pleine de fragilités et qui est partie pour en baver un max. De nouveau éveillée à la vie… ben oui c’est ça aussi la vie : prendre des risques, et celui de voir son petit coeur brisé aussi. Bien sûr il y a aussi des choses qui m’agacent prodigieusement, chez elle comme chez lui d’ailleurs. C’est quoi cet entêtement à vouloir à tout pris un gage de commitment seulement une semaine après la rencontre !!! Pourquoi ne pas laisser faire les choses quand tout montre que malgré ce discours qu’il martèle - en permanence c’est vrai - il ne la traite pas comme ses habituelles « BBB » ? Euh sans doute parce que sans ça, ben y a plus de roman. Et cette idée d’arrangement, si ça, ça ne sent pas le déjà-lu, sauf qu’on parlait plus directement de contrat. Et cette constance à souffler le chaud puis le froid, mais là ça vient peut-être du style qui, parfois, saute d’une scène à l’autre sans trop de lien. Peut-être que c’est une façon de traduire les émotions très erratiques de Colton, en perpétuel conflit entre ce qu’il ressent et ce dont il pense ne pas être capable et ce dont il pense avoir besoin, etc. A moins que ce ne soit juste le défaut de style d’un auteur encore un peu vert (ah le syndrome de la mère de famille qui s’ennuie et se dévergonde en écrivant du «mommy porn» a encore frappé). Je donne peut-être l’impression de ne pas avoir aimé mais ce n’est pas le cas. Parce que s’il n’y a rien de nouveau sous le soleil - à part peut-être l’atmosphère des circuits de course, mais pour l’instant on n’en a eu qu’un tout petit aperçu, qu’on ne s’y trompe pas : j’ai fondu et fallen hard pour Colton et je brûle de suivre son chemin vers son happy end - et ça risque fort de ne pas être un chemin pavé de roses. Et d’ailleurs de m’y remettre sans temps mort parce que je ne peux pas en rester là et surtout après ce cliffhanger de la mort. J’ai envie et besoin de les voir retrouver un peu de sérénité et de se retrouver tout court. Et un peu de curiosité aussi de voir comment la «bitch qui murmurait à l’oreille du pilote» - personnage un poil caricatural - va venir foutre le bordel dans tout ça très certainement. Sans oublier cette infime possibilité de… Ah oui et puis j’ai failli oublier The question : what Ace stands for ? Parce que ça pour le coup, je n’ai pas réussi à le deviner ;-p

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