Auteur : Brenda Joyce
Editeur : Harlequin
Collection : Best Sellers
Première parution (VO) : 2012
Dernière parution (VF) : 2014
Série : Les secrets de Greystone Manor (n°03)
Héros : Jack Greystone
Héroïne : Evelyn d’Orsay
Orpheline sans le sou, Evelyn d’Orsay a épousé un Comte à l’âge tendre de seize ans. Mais les flammes de la révolution l’ont forcée à quitter la France avec l’aide d’un célèbre contrebandier. Veuve depuis peu et sans ressources, elle sait qu’il lui faut récupérer la fortune familiale demeurée en France pour assurer l’avenir de sa fille, et un seul homme peut l’y aider… le passeur qu’elle n’a jamais pu oublier. Jack Greystone a été contrebandier depuis sa plus tendre enfance, et espion depuis le début de la guerre. Hors-la-loi dont la tête est mise à prix, il se cache quand il entend parler des questions que pose la comtesse à son sujet. Il est réticent à l’idée de lui venir à nouveau en aide, car il n’a jamais été capable de l’oublier. Mais il réalise rapidement qu’il est prêt à abandonner tout ce qu’il a pour être auprès de la femme qu’il aime…
Louise80 (le 28/12/2013)
Audette (le 28/01/2014)
Bancale38 (le 01/07/2014)
Sans plus.
Forest (le 14/10/2014)
Malgré la thématique de la piraterie, au cœur de la révolution française, c’est un roman mièvre et inintéressant. Globalement, on dirait un roman désuet des années 70 ! L'héroïne est irritante et uniquement intéressée par la sécurité de sa petite famille dans ces temps troublés, mais où le destin d'un peuple est en marche, avec des idéaux d'égalité, de liberté et de fraternité. Ces idéaux lui passent au-dessus de la tête. Question politique, elle ne voit pas plus loin que le bout de son nez. Tout ce qui l'intéresse c'est de conserver ses privilèges et d’introduire sa fille dans le monde, afin de perpétuer les privilèges de l’aristocratie. Ensuite, les révolutionnaires français sont vraiment maltraités par l’auteur, je ne comprends pas ce parti pris manichéen, plus de 200 ans après la révolution. C'est tellement simpliste. D'ailleurs j'ai remarqué qu'aux yeux des anglo-saxons de la série J’ai lu, la seule chose de France qui trouve grâce à leurs yeux, ce sont les cuisiniers ! Quel cliché ! Abstenez-vous !
Pàtoune (le 21/06/2016, lu au format papier, en VF)
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