Max Shannon est un flic (humain) que l'on a rencontré dans les tomes précédents ("Mine to possess") : il est l'ami de Clay et Tally. Bien qu'humain, il possède un talent particulier, il est capable de bloquer les intrusions mentales des Psys vis-à-vis de lui. Aussi est-il très surpris lorsque la mère de Sascha Duncan (héroïne du tome 1), membre du Conseil des Psys, lui demande son aide dans une histoire de meurtres qui touche les Psys. Elle lui assigne comme coéquipière la jeune Sophia Russo, une Psy spécialisée dans la Justice, qui a pour job d'entrer en contact mental avec les meurtriers, de sortir de leur esprit les preuves de leur culpabilité et ainsi de permettre leur arrestation. Elle est une J-Psy, une race très rare et très convoitée. Les J-Psy ne vivent pas vieux en général : douze ans, puis ils sont réhabilités (leur cerveau est effacé par les Psys et ils deviennent plus ou moins des légumes). Sophia sait que ses jours sont comptés et qu'il s'agit probablement de sa dernière mission. Elle sait aussi que son paravent mental est en train de se fracturer et qu'elle n'en a plus pour longtemps, mais au fur et à mesure de l'enquête avec Max Shannon, elle ressent pour lui des sentiments étrangers, que le séduisant policier lui rend bien... Sophia pourra-t-elle s'en sortir, d'autant qu'un des meurtriers qu'elle a traqués s'évade de prison et la recherche pour la tuer...

Commentaires

La Chipie (le 28/07/2010)
Cote : 2

Contrairement aux romans précédents de la série, cette fois-ci, j'ai accroché davantage avec l'intrigue globale plutôt que la formation du couple Max/Sophia. Non que Max Shannon ne soit pas un héros comme on les aime, mais en fait, j'aime moins les romans de Nalini Singh dans lesquels au moins un des personnages principaux n'est pas un Changeling. Je trouve leurs échanges plus intéressants, qu'ils s'accouplent avec un Psy ou un humain, plutôt que les duos humain/Psy. Il manque dans ces derniers le petit côté animal, sensuel qui donne tout son charme à cette série. Cela dit, ce huitième opus reste une lecture très agréable, car l'auteur a su créer tout un univers ultra-cohérent, maîtrisé et magique. Vivement la suite !

Fouine (le 28/09/2011)
Cote : 2

Lu en VO : pas mal, avec un héros humain l'histoire retombe un peu dans les normes, mais ça se laisse lire avec plaisir...

Ramothflar (le 09/12/2013)
Cote : 3

Très bon, différent, plus global, le couple principal jette un éclairage nouveau sur le psi net, j'ai hâte de voir si mes intuitions se vérifieront. A lire.

Stéfanette (le 17/12/2013)
Cote : 2

Ce tome est plus construit autour de l'intrigue qu'autour de la formation du couple. Mais du coup, ça nous projette beaucoup plus dans les méandres du psinet et ça nous apporte un point de vue nouveau sur certains "conseillers"... ce qui nous donne encore plus envie de lire la suite.

Bancale38 (le 16/01/2014)
Cote : 2

Vraiment intriguant ce monde psi. Ce tome ouvre de nouvelles portes sur Kaleb et la conseillère Duncan... A suivre avec impatience.

Caramel (le 08/03/2014)
Cote : 2

Mieux que le précédent car on retrouve les Changelings... dans l'attente de l'histoire de Hawke et Sienna !

Maya (le 23/06/2014)
Cote : 2

Un cœur et demi car j'ai moins accroché avec le couple !! C'est dommage car au début cela semblait prometteur, mais au fur et à mesure c'était trop long avant qu'ils ne "concluent" !!! Par contre j'ai adoré retrouver les changellings et j'ai trop hâte de lire l'histoire de Hawke et Sienna !!

Elle (le 07/07/2014)
Cote : 2

Cela manque un peu de passion, mais la rencontre de ces deux caractères assez atypiques est vraiment très intéressante.

Finkil (le 29/09/2019, lu au format papier, en VO)
Cote : 1

*spoiler alert* Ca se laisse lire mais ce n’est clairement pas le meilleur de la série. Peut-être même le moins bon en fait. Psy versus humain, on commence à connaître la « formule » - et j’emploie ce terme à dessein car il y a clairement un goût de répétition au fil des tomes. Petites variantes ici : il est humain point barre - pas d’ancêtre Psy caché. Et elle est Psy de la catégorie J. Ça ne change pas grand chose au schmilblick sauf qu’elle est censée être encore plus sensible au toucher que les autres - ah bon j’avais pas remarqué jusqu’à la toute fin. Et on fait traîner le rapprochement physique parce qu’elle pourrait juste en mourir - une constante dans la série, cette fameuse sortie du Silence soi-disant mortelle - mais quand on passe aux choses sérieuses pouf ! Y a plus de problème. Ce petit côté formulaïque particulièrement visible quand je ne suis pas complètement accrochée par le couple finit par être dérangeant. Et là ben j’étais pas accrochée. Y a jamais vraiment de conflits entre eux ; leurs passés pourtant bien chargés chacun à sa manière ne font jamais vraiment obstacle. Quant à la menace sur sa vie, le seul vrai problème dans leur histoire, désolée mais au bout de tant de tomes maintenant, et de couples du même genre à une lettre près, ben je n’y crois plus vraiment. J’attends l’incontournable deus ex machina qui va régler tout ça d’un coup de baguette magique à la fin. Il faut avouer qu’ici c’est plutôt bien trouvé et cohérent avec l’univers - enfin si j’ai bien tout compris parce que cette histoire de PsyNet/DarkNet est assez nébuleuse -, je salue la performance parce que ce n’est pas toujours le cas. Parfois par le passé, l’auteur a réussi à me faire croire que peut-être cette fois il ou elle pourrait vraiment mourir mais là… non. Et étrangement tout ça manque d’émotion. Mais je crois que mon problème principal c’est qu’ils sont trop amoureux tout de suite. Ça donne une certaine mièvrerie à leur histoire d’amour. C’est très plat tout ça. Quant à ce qu’il se trame autour : les deux enquêtes - même si celle sur le psychopathe est un chouille au-dessus de l’autre ; les petits jeux politiques, la big transformation de toute la société qui se profile - ne m’a pas franchement captivé. Des fois oui mais là… non. En revanche j’ai bien aimé revoir tous ces petits léopards - encore une fois me souvenais plus que Max était apparu avant dans la saga ni par quel biais du coup - et trouvé Kaleb de plus en plus intriguant. Avec cette « chose » qui le traque dans le Net, cette personne qu’il recherche depuis plus de six ans sans relâche, son pouvoir unique et cette froideur glaciale légendaire - le plus froid de tous les Psy - il y a de quoi être intrigué et heureusement il aura son histoire. Nikita aussi commence à éveiller ma curiosité ; elle si froide, n’hésitant pas à tuer pour servir ses ambitions, développerait-elle des sentiments ? Bref quelques éléments toujours intéressants à creuser in the grand scheme of things mais un couple insipide. Et c’est quoi cette fin ? River, élément clé du passé du héros qui débarque comme ça l’air de rien sans provoquer plus d’émotion que ça, à moins que cela ne vienne de moi, peut-être que j’étais trop détachée et pressée d’en finir pour percevoir les sentiments. C’est possible aussi… ou pas.

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