Les Romantiques, le site francophone dédié au roman féminin

Auteur : Brenda Joyce
Première parution (VO) : 1995
Série : 2 - Famille de Warenne - Elizabethains (n°1)
Héros : Liam O'Neill
Héroïne : Katherine Fitzgerald

Katherine Fitzgerald quitte le couvent français où elle a passé plusieurs années pour regagner son Irlande natale. Elle est très heureuse de retourner chez elle, de retrouver les siens. Mais tout ne se passe pas comme prévu. Pendant le voyage, leur bateau est attaqué par le Capitaine Liam O'Niell, corsaire et favori de la reine Elizabeth. Dès qu'il voit Katherine, il sait qu'il veut cette femme dans son lit. Mais Katherine méprise son geôlier, s'il la veut il devra la prendre de force. Or les femmes tombent facilement dans les bras de Liam. Il est persuadé qu'il peut la séduire grâce à son charme, ce n'est qu'une question de temps. le jeu de la séduction peut commencer...

Commentaires

Emmakens (le 23/09/2006)
Cote : 3

Ah, ce pirate est magnifique et ce livre est chaud bouillant !!! A lire absolument.

Pinky (le 05/05/2008)
Cote : 3

Superbe histoire ! Riche en intensité et en rebondissements. Liam est tout simplement génial : passionné, prêt à tout pour gagner le coeur de l'héroïne. Il a rejoint le top de mes héros favoris.

LaetiFleurBleue (le 19/06/2008)
Cote : 2

Si je pouvais, j'aurais mis 2,5 coeurs. Le héros, Liam, est formidable : beau comme un dieu, amoureux, chaud-bouillant mais respectueux, relativement riche ; sa bâtardise le rend paria, juste ce qu'il faut, pour qu'il puisse avoir eu l'éducation et le comportement d'un gentilhomme, sans toutefois se laisser berner, se laisser emprisonner par les conventions. Alors que le rapt de Katherine par le pirate pouvait laisser supposer un viol, il s'est plutôt agi d'une éducation progressive de la demoiselle à sa sensualité, assez amusante (l'"honneur" de la demoiselle est préservé assez longtemps, alors même que nos héros ne se sont pas contentés de chastes baisers cartlandiens). Ce qui m'a un peu moins plu et me freine un tout petit peu avant les 3 coeurs : Katherine m'a un peu énervée ; par son snobisme, elle m'a rappelé Shanna, en pire. Elle quitte le couvent ne rêvant que d'une chose, se marier et avoir des enfants. Quand Liam lui propose de l'épouser, alors même qu'elle est très fortement attirée par lui, qu'il n'a jamais été violent, elle le rejette car il n'est pas assez bien né et qu'il lui faut un noble. Et son mépris pour Liam, en raison de son père, dure et dure encore. L'intrigue, quant à elle, est plus complexe qu'il n'y paraît (d'où le titre), ce qui permet des péripéties intéressantes pour nos héros et contribue à compliquer encore leurs relations et à retarder leur confiance mutuelle. Enfin, le vocabulaire utilisé a tendance à devenir plus familier pendant les scènes hot, y compris dans les descriptions, sur quelques mots seulement, mais j'ai trouvé ça un peu décalé et pas complètement approprié.

Finkil (le 14/10/2008)
Cote : 1

Une grosse impression de déjà-lu sur ce roman. Au point que je me demande si je ne l'ai pas déjà lu... en français... sauf qu'apparemment il n'est jamais sorti en français. Ca tient aux personnages, on ne peut plus classiques : lui, bâtard d'une brute qui refuse de ressembler à son géniteur et qui pourtant ne se comporte pas franchement mieux. Elle qui, victime du syndrôme de Stockholm, succombe malgré elle - et plutôt rapidement - au charme de ce pirate qui l'a enlevée ; incapable de lui résister physiquement tout en rêvant d'épouser un gentleman, ce qu'il n'est évidemment pas. Qu'est-ce qu'elle m'a énervée cette héroïne, à s'accrocher à ce rêve d'ambition plus que d'amour et à refuser d'accepter ce qu'elle vivait vraiment. J'avais lu beaucoup de critiques très élogieuses sur ce bouquin dans le forum - et surtout, il faut le reconnaître, sur ce pirate - mais décidément je n'ai pas succombé au charme de Liam. Pour autant, je ne peux pas me résoudre à lui mettre une croix, parce que parmi les 400 et quelques pages de ce roman - oui parce qu'en plus c'est un pavé - il y en a quelques unes de bonnes mais pas inoubliables. Peut-être simplement que je n'adhère plus à ces grandes fresques passionnelles où les héros vont d'incompréhension en quiproquos et ne comprennent qu'à la dernière minute qu'ils s'aiment et sont faits l'un pour l'autre. Tout ce temps perdu m'a profondément ennuyée. La petite histoire se mêle à la grande, ce qui en soit pourrait être intéressant - d'ailleurs à ce propos je ne sais pas, Elisabeth était vraiment comme ça, mais là elle est franchement détestable - mais je me suis perdue dans ce jeu politique qu'ils essaient tous de jouer. Décidément une grande déception pour moi. Je m'en vais retourner à mes contemporains bien plus attrayants en ce moment et oublier ce roman, ce que je n'aurai pas trop de mal à faire, je crois.

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