Auteur : Celeste Bradley
Première parution (VO) : 2005
Contexte : Angleterre
Genre : Régence
Série : Le club des menteurs (n°5)
Héros : Ethan Damont
Héroïne : Lady Jane Pennington
Talia (le 12/11/2007)
Très bonne histoire, mais il faut dire que j'apprécie particulièrement cet auteur. J'ai lu ce livre après avoir lu l'histoire des quatre royaux donc je connaissais déjà les grandes lignes de l'intrigue, ce qui ne m'a pas empêchée d'apprécier ce roman. J'adore le personnage d'Ethan et le fait qu'il n'ait qu'un intérêt à coeur : Jane. Peu importe dans quel camp il est, tant que cela lui permet d'obtenir ce qu'il veut : elle. J'aime bien les personnages cyniques et désabusés comme cela, ca change agréablement. Surtout que jusqu'à présent, on avait des héros droits qui faisaient passer l'honneur de l'Angleterre avant tout. Pour moi c'est un des meilleurs qu'elle ait écrit.
P&P (le 21/08/2008)
Leelou (le 05/06/2009)
Très bon épisode où chaque participant a un rôle secret, ce qui crée des surprises bien amenées. Ethan est un héros écartelé entre une naissance obscure et une éducation noble, ce qui lui laisse peu de véritable place dans le monde. Il manque un but à sa vie, et son amour impossible pour Jane va le lui fournir. De son côté, Jane agit bizarrement au début, mais sa personnalité est plus riche que prévu. Et au final la Chimère est enfin démasquée. J'aurais mis trois coeurs mais j'avoue que la scène dans la voiture m'a fait grincer des dents, sans compter le bondage et le ridicule de la déclaration finale devant le cousin Stanton. Pour ceux qui n'ont pas lu le Quatuor Royal, le marquis de Wyndham apparaitra évidemment comme un outsider sans intérêt. Et pourtant...
Zabeth (le 08/06/2009)
Lecture des tomes dans le désordre, ce qui fausse ma perception. Jane est adorable, sincère et courageuse. Son Gambleur est un peu rustique et ses manières déplorables. Le couple est difficilement assorti. Le personnage de Mother est inattendu (et j'ai lu illico son histoire sans suivre l'ordre chronologique). J'aime bien l'humour aussi, et il en manque un peu dans ce livre... tandis que la passion est quelque peu, hum, débridée.
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