Auteur : Anne Rice
Editeur : Plon
Première parution (VO) : 1995
Dernière parution (VF) : 2012
Série : Chroniques des vampires (n°05)
Nombre de pages : 449
Lia (le 25/02/2005)
Ca vous dirait de relire la bible revue et corrigée par Anne Rice ? Lestat ne sait plus à quel saint... oups à quel diable se vouer ? Le diable lui-même lui demande de l'aide. Pauvre Lestat. Son narcissisme/égocentrisme aïgu risque de ne jamais s'en remettre ! Enfin je me suis bien ennuyée devant les suppositions abracadabrantes de l'auteur. Vive la théologie, mais pas chez les vampires et surtout pas de cette manière. Dommage, l'idée était assez intéressante. Fans de la saga, un conseil : passez votre chemin après l'avoir lu... courrez, courrez aussi loin que vous le pouvez et reprenez le premier volume pour vous remettre de cette fadeur sans nom.
Isabelle x (le 24/03/2005)
Aradia (le 07/04/2005)
Je ne suis pas d'accord avec Lia, cette vision des choses est vraiment intéressante et poétique, elle m'a passionnée ! À lire.
Gallya (le 13/05/2005)
Le génie à l'état pur ! Je désespérais de ne plus retrouver l'enthousiasme et la folie d'Anne Rice dans "Lestat le vampire", mais "Memnock le démon" se hisse sensiblement au même niveau que mon volume préféré de la série. Lestat n'est plus au centre de l'histoire, mais la sainte bible elle-même. C'est fou, c'est osé, c'est comme les paroles du serpent qui nous incitent à mordre dans la pomme... Lisez et découvrez comment Anne Rice joue avec les mots, s'approprie toute la bible. Comment elle infuse sa propre version sensuelle et pervertie. C'est magique, c'est démentiel. Et ce sont les paroles d'un démon. Je prends ce roman comme une parabole, un parallèle sur notre réalité. Combien de démons l'humanité a-t-elle écoutés dans son histoire, continue-t-elle d'écouter ? Regardez ce qu'il s'est passé... ce qu'il se passe aujourd'hui... ce qu'il se passera, demain...
Tamachounette (le 28/08/2007)
Décevant par rapport aux autres tomes... dans l'absolu, sans les tomes précédents, ce roman mériterait un ou deux coeurs... mais là, après les quatre premiers tomes, on perd tout le côté passionnel, pour tomber dans une démarche trop philosophique...
Pandora (le 03/01/2008)
Vraiment déçue par tout cet ésotérisme brouillon, mais bon, toujours contente de redécouvrir Lestat.
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