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Auteur : Catherine Coulter
Première parution (VO) : 1990
Série : Night (3) (n°3)
Héros : Alec Carrick
Héroïne : Genny Paxton

Cher lecteur,
Vous avez rencontré Alec Carrick dans Night fire. Il revient avec toute sa puissance, et croyez moi, cet homme n’en manque pas, dans Night storm, le troisième roman de la trilogie Night, que j’ai écrit à l’automne de 1988. Les Paxton sont armateurs à Baltimore. Alec Carrick est un noble anglais qui veut racheter leur entreprise. Genny Paxton cache bien son jeu, elle se fait passer pour «Eugène» et veut construire ses propres bateaux sans interférence masculine. Alec, en homme perspicace, sait exactement ce que cachent ces habits masculins. C’est une histoire d’amour pleine de fantaisie, d’humour, de circonstances scandaleuses et de rebondissements. Et il y a Hallie, la fille d’Alec, âgée de 5 ans, une charmeuse qui volera votre cœur pour toujours.
Catherine Coulter

Commentaires

Fouine (le 25/04/2005)
Cote : 2

Le héros n'est autre que le beau-frère de l'héroïne de Night Fire. Il est veuf et élève seul sa fillette de cinq ans. En pourparlers pour acheter un chantier naval, il tombe sur Eugène (alias Eugénia) qui se travestit en homme afin de pouvoir diriger les hommes de son père. Alec Carrick n'aura de cesse d'aider Eugénia Paxton à retrouver sa féminité, quitte à l'épouser ! On retrouve les héros précédents cloturant cette trilogie.

Tinker (le 28/06/2010)
Cote : pas terrible

J'ai détesté et pourtant j'ai lu beaucoup de livres de Coulter et je suis généralement assez tolérante avec cet auteur car même si elle a le don pour toujours glisser une scène désagréable dans ses histoires, elle est rarement ennuyeuse. Mais là ! Non seulement le héros est d'un machisme plus que pénible, ce qui pourrait se comprendre étant donné l'époque où l'histoire se passe, mais il a par ailleurs un comportement absolument pas crédible pour un homme de cette époque et de ce milieu, comme d'emmener l'héroïne au bordel. Surtout, sa personnalité n'a aucune cohérence. Il est détestable pendant la quasi totalité du roman sauf cinq pages avant la fin et il n'y a aucune raison particulière à ce revirement. Ses sentiments envers l'héroïne semblent se résumer à des jeux de pouvoir. Son attitude avec sa petite fille et avec l'héroïne sont totalement en contradiction et tout est à l'avenant. L'héroïne est quant à elle une carpette qui accepte tout. On a vraiment l'impression que l'auteur devait reprendre ce personnage qui apparaissait dans le premier de la série mais qu'elle a écrit au jour le jour sans savoir où elle allait.

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