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Read-A-Romance Month 2016

Rinou - 19/11/2016

Bien sûr, Le mois de la Romance a lieu principalement sur le site américain, et on ne peut que constater que les auteurs anglophones (dont certaines pointures internationalement connues) savent de quoi elles parlent. Cette année, Bobbi Dumas avait décidé de mettre l’accent sur l’amour de la Romance. J’ai choisi quelques extraits parmi les nombreux articles publiés, et pour une fois il y a également un auteur non traduit parce que j’ai aimé ce qu’elle disait.

Lisa Kleypas
J’aime la Romance depuis l’âge de douze ans. J’ai subtilisé un exemplaire de «Quand l’ouragan s’apaise» sur la haute étagère interdite dans notre petit coin lecture familial, ouvert la première page, et voilà. Il y avait un mélange d’émotion, d’intimité et d’attente qui était complètement là, flagrant, comme si Mme Woodiwiss avait d’une certaine façon vu à l’intérieur de mon coeur adolescent et décrit toutes mes émotions. Je me suis sentie comprise, rassurée, pleine d’espoir. Des milliers de romances plus tard, je les aime toujours autant. J’aime trouver celle qui est tellement bonne qu’elle me plonge dans une transe de lecture, dont j’émerge avec une satisfaction profonde qui n’est comparable à rien d’autre. Même maintenant, je sens mon coeur battre plus fort quand je lis quelque chose de vraiment super. Je rougis. J’éclate de rire. Et si la romance est bien faite, elle semble si simple et naturelle, comme si elle coulait des doigts de l’auteur, qu’on ne pense jamais à l’effort rigoureux nécessaire pour la rendre aussi parfaite. Quand je rencontre un auteur de Romance qui m’a procuré des heures de rêve éveillé, je redeviens cette petite fille de douze ans, impressionnée et reconnaissante… et debout sur la pointe des pieds pour voir s’il y a un autre livre exceptionnel sur cette haute étagère.

Donna Thorland
J’aime la Romance parce que dans notre rayon à la librairie, les femmes sont autorisées à gagner. Elles peuvent résoudre le mystère, inverser le cours de la bataille, séduire le héros. Quand je prends une romance, je sais qu’une femme sera au centre de l’histoire, et qu’elle ne sera pas seulement un élément de l’intrigue. Elle ne va pas être assassinée dans les dix premières pages pour lancer l’histoire, reléguée au rôle d’acolyte pendant la plus grande partie de l’action, ou offerte en récompense au héros comme un prix de bonne conduite à la fin.
J’aime en particulier les historiques, parce que c’est une opportunité de réécrire des histoires de femmes dans un tableau souvent exclusivement masculin. Je regardais [Doctor Who] chaque vendredi soir à la télévision publique du New Jersey. La chaîne rendait l’antenne juste après la série avec un message culturel qui montrait George Washington faisant irruption chez les mercenaires Hessiens lors de la bataille de Trenton à la veille de Noël. C’était aussi spectaculaire que n’importe quelle scène de Doctor Who, et je me demandais pourquoi il n’y avait pas plus d’histoires situées pendant la Révolution
Américaine et où étaient toutes les femmes…
Elles sont faciles à trouver si on les cherche. Puisque nous ne lisons rien sur ces femmes bien réelles dans les livres d’histoire, nous avons l’occasion d’écrire et de lire leurs histoires, héroïquement, au rayon Romance.

Susan Elizabeth Phillips
Si vous me connaissez, vous avez probablement lu ma citation «La vie est trop courte pour lire des livres déprimants !» J’y crois fermement. Trop souvent, la fiction littéraire est déprimante - comme si raconter des histoires n’avait de valeur que lorsque les gens souffrent, ou si la vie n’était réelle que lorsqu’elle est pleine de tragédie. Je suis entièrement favorable à la lecture de livres inspirants, positifs, et je les trouve le plus souvent dans la Romance et le Roman féminin. Ce sont des histoires d’amour, de communauté et d’amitié qui ont le plus de sens pour moi et illustrent mes valeurs.
Il n’y a rien de mieux que de finir une Romance ou un Roman féminin merveilleusement écrit, qui me fait réfléchir, ressentir des émotions et, à la fin, me donne un peu plus foi en mon monde et les gens qui y vivent. Mais en fait ce n’est pas complètement vrai. Quand je lis un super livre, je ne veux pas qu’il finisse. Je suis si complètement emballée par l’histoire, les personnages et le monde que je ne veux pas en sortir. C’est mon plus grand compliment pour un livre : être déçue quand il est terminé. Et en général les livres qui me font ressentir ça contiennent de la romance, des amitiés féminines, et forcément une fin heureuse.

Brenda Novak
Certains des mythes et stéréotypes dépassés [sur la Romance] sont :
1. Les romances ne parlent que de sexe. Ca ne pourrait être plus faux. Les romances ne parlent pas plus de sexe que les romans policiers ne parlent de meurtre. Dans un roman policier, les lecteurs aiment résoudre l’intrigue. Dans une romance, c’est voir deux personnes qui trouvent une façon de forger une relation amoureuse durable, en dépit de tous les obstacles qui les séparent. Ca parle de FIN HEUREUSE, pas de sexe.
2. Les romances sont toutes pareilles. Les romances ne sont pas plus «pareilles» ou «écrites selon une formule» que les romans policiers ou les thrillers. Il y a certaines conventions que les lecteurs attendent dans chaque genre, mais c’est le parcours vers cette fin heureuse que les lecteurs aiment dans la Romance, et chacun est différent. Maintenant que la Romance s’est développée au point que les auteurs mélangent les genres, il y a plus de variété que jamais.
3. On devrait avoir honte de lire des romances, c’est un pêché mignon. Pourquoi se sentir coupable de sauter sur une bonne histoire quand on a besoin de se détendre ou qu’on doit attendre des heures chez le médecin ? Quelques-uns des  mails de fans les plus touchants sont du style «Je veux vous remercier d’avoir écrit (peu importe le livre qu’ils ont lu). Je n’ai jamais passé un plus mauvais moment que cette année, et ça m’a apporté de la joie quand j’en avais le plus besoin. Continuez à écrire s’il vous plait.» Ces gens me rendent fière de ce que je fais.
4. Tout le monde peut écrire de la Romance. Ecrire de la Romance n’est pas facile, en particulier dans ce marché saturé. C’est par contre le genre qui se vend le mieux, et de loin. Selon le dernier article de Publisher’s Weekly, la Romance dépassait d’au moins 30% en 2014 les autres genres, en nombre de ventes.
5. Les gens qui lisent des romances n’ont pas une vie sexuelle saine et doivent donc vivre par procuration à travers des personnages fictifs. Une étude Info Trends commanditée par les RWA révèle que le coeur du lectorat de ce genre est composé de femmes de 31 à 49 ans qui sont en couple. J’aime de nombreux genres, j’ai toujours été une lectrice éclectique, mais la Romance sera toujours mon préféré. Pourquoi ? Parce que les romances promeuvent le bonheur et l’espoir et témoignent du vieil adage : l’amour est toujours vainqueur. Je crois que les Beatles l’ont bien cerné quand ils ont chanté «Love is all you need».

Vanessa Kelly
Les romances que j’ai découvertes à l’adolescence mettaient en scène des héroïnes plus intéressées par le fait de résoudre le mystère, de voir triompher la justice, ou de faire leur chemin dans le monde que d’attendre que le héros se montre (Alice Roy a aussi été un bon professeur à cet égard). Ces héroïnes étaient les gouvernantes des romans de Victoria Holt, qui protégeaient les enfants à leur charge, avant de trouver le véritable amour auprès du sombre et dangereux seigneur du manoir. C’étaient les héroïnes de Mary Stewart, certaines un peu geeks, ou tout du moins solitaires, qui affrontaient les méchants et faisaient appliquer la justice et ENSUITE seulement avaient le temps pour leur fin heureuse. C’étaient les débutantes ou les veuves de Georgette Heyer, bridées par les conventions de leur temps, mais toujours déterminées à choisir leur vie autant que possible. Et si le héros ne pouvait accepter ces choix ? Eh bien il n’était pas le héros qu’il leur fallait.
En résumé, c’étaient des femmes qui avaient du courage, pas besoin d’un homme, et assez de confiance en elles pour faire ce qui était juste. Elles étaient de formidables exemples, et m’ont appris que je pouvais faire des choix sans attendre l’approbation d’un homme. En d’autres termes, elles m’ont appris à être moi-même. Et ça a été la première leçon  transmise par la Romance - qu’on ne peut pas vraiment être acceptée, pas de façon satisfaisante, tant qu’on n’a pas appris à être soi-même. Pour ouvrir son coeur au monde, il faut d’abord apprendre à s’aimer et à s’accepter.

Jennifer Bernard
On se raconte tout le temps des histoires, et on en raconte aux autres. C’est comme ça qu’on donne un sens au monde. Quand on est entouré de conflits et d’antagonismes, quel genre d’histoire peut-on raconter pour trouver une solution, de l’espoir et la paix ?
Dans une romance, deux personnes (ou plus !) triomphent d’un certain nombre de conflits potentiels, d’obstacles, de malentendus et autres catastrophes. Ce n’est pas un chemin facile, bien sûr. Il y a de l’opposition, de l’attirance, des revers, de la confusion, des séparations, et le très important Moment Noir où Tout Est Perdu. Mais à la fin arrive la transcendance. Dans une romance l’amour est vainqueur. C’est cette petite chose qu’on aime appeler le happy end.
Comme on le sait, ce fichu happy end est l’une des raisons principales pour lesquelles la Romance a mauvaise réputation. «Ce n’est pas la vraie vie.» «Vous vendez des fantasmes.» «Les femmes vont attendre des super héros.» Exactement ! Ce n’est pas la vraie vie, c’est une histoire. Et l’univers est fait d’histoires, vous vous rappelez ? Quelles histoires allons-nous nous raconter ? Uniquement des histoires lugubres et déprimantes, que ce soit aux infos ou dans la fiction ? Pourquoi ne pouvons-nous pas raconter aussi des histoires qui nous encouragent, nous font sourire, nous donnent de l’espoir ? Les romances offrent un récit qui dit : le bonheur repose sur le fait d’ouvrir son coeur, d’abaisser ses défenses, de mettre de côté orgueil et ego pour quelque chose de plus grand. Les romances disent qu’on n’est pas seul, qu’On est plus grand ensemble que séparément.
Et n’est-ce pas digne et nécessaire, si ce n’est plus ? Ce n’est pas idiot, ni une perte de temps. C’est quelque chose qui doit être dit. L’amour est toujours vainqueur. C’est comme ça que je donne un sens au monde. L’amour est toujours vainqueur.

Jaci Burton
Ma mère a toujours été une lectrice. A côté de son fauteuil, au salon, il y avait un panier plein de romances. Plus tard, à l’adolescence, ma grande soeur, qui était déjà mariée, avait des livres chez elle. Je me rappelle avoir pris une romance dans sa pile. C’était «Quand l’ouragan s’apaise», et ainsi mon amour pour la Romance était né. J’avais été transportée. Mes yeux avaient été ouverts. Vous pensez bien qu’aussitôt ce livre fini, j’ai fouillé dans ceux de ma mère pour voir quelles autres merveilles de la romance il y avait à lire. Oh, il y en avait plein. Pouvoir partager ces mots à la fois avec ma mère et ma soeur, c’était comme faire partie d’un club spécial, avoir un nouveau monde qui s’ouvrait à moi. Nous parlions du héros, de l’héroïne, de ce qui leur arrivait pendant l’histoire et ce que nous en pensions toutes. C’était un moment de rapprochement pour nous, dont je me souviens encore avec tendresse.
Quand je me suis mariée et que j’ai quitté l’état, j’ai envoyé les romances que j’avais lues à ma mère et à ma soeur, car ce que je sais sur l’amour et la Romance, c’est que quand on lit quelque chose de merveilleux, on a envie de le partager avec les gens qu’on aime. Il n’y a rien de plus satisfaisant que de partager une fin heureuse avec quelqu’un. C’est pour ça que je fais aussi souvent des cadeaux. J’aime partager mes livres, et j’espère toujours trouver de nouveaux lecteurs qui en tomberont amoureux. Trouver de nouveaux auteurs à lire est toujours excitant pour moi. Il n’y a rien de mieux que de tomber amoureuse d’une romance, puis d’attraper tout ce que cet auteur a écrit. La Romance c’est génial, vous savez !

Shannon McKenna
J’ai tendance à rabâcher au sujet du pouvoir de guérison de la Romance. C’est important pour moi. Je n’oublierai jamais ces années où j’étais jeune et fauchée et perdue, je passais mon temps libre debout dans les allées de la section Romance de la librairie, à lire les livres que je ne pouvais pas me permettre d’acheter. Cherchant désespérément à ressentir ce buzz, ce shoot d’endorphine. Ces livres m’ont aidée pendant des périodes difficiles et déroutantes.
Alors quand j’ai commencé à écrire de la romance moi-même, j’ai me suis posé toutes les questions requises : quels sous-genres étaient bien pour moi, comment je devrais développer l’intrigue et esquisser mes personnages, et tous ces autres trucs d’écriture. Mais mon objectif principal, la chose que je voulais vraiment accomplir par-dessus tout, c’était générer ce baume guérisseur magique pour d’autres personnes… le genre qui pourrait vous aider à dépasser une situation difficile. Les livres en général ont toujours fait ça pour moi, mais depuis que j’ai découvert la Romance à l’âge de onze ans, le lien entre le buzz de la Romance et la gestion de l’humeur est devenu clair et évident.
Quel outil merveilleux, direct et rapide - et bien moins problématique que tous les autres vers lesquels on pourrait envisager de se tourner ! (Même si je plonge régulièrement dans le chocolat noir, je dois l’admettre).
J’ai reçu de nombreuses lettres et commentaires de lecteurs au cours des années, et je les chéris tous, mais ceux qui me rendent le plus heureuse disent des choses comme «Je m’ennuyais tellement après cette chirurgie de la vessie et votre livre m’a vraiment aidée à passer tout ce temps alitée» ou «J’étais si déprimée après avoir rompu avec mon petit-ami, et vos livres m’ont fait rêver de romance à nouveau.» Ca me rend tellement heureuse et fière. Je sais que je suis sur le bon chemin et que je fais le travail que je devais faire quand j’ai la preuve que je réponds à un véritable besoin urgent. Un besoin qui mérite d’être comblé.

Karen Hawkins
Me voilà, environ douze ans et vivant dans les grands espaces du Tennessee. Plus tôt ce jour là, j’avais supplié mon père de s’arrêter dans cette petite librairie, sur notre chemin pour aller chez ma grand-mère qui croyait au vieil adage «les enfants doivent être vus mais pas entendus» et où je devais faire face à des HEURES de silence agité. Mon père a accepté, mais m’a dit de «faire vite». Alors j’ai couru dans la petite librairie, foncé dans la section fiction, et je me suis figée. Il y avait TELLEMENT de livres et j’avais TRES PEU DE TEMPS pour en choisir SEULEMENT UN. Je me suis mise à genou - et il était là. Arabella et le libertin de Georgette Heyer. Il va sans dire que j’ai passé un merveilleux moment chez ma grand-mère. Et j’ai fait arrêter mon père à la librairie sur le chemin du retour aussi, pour prendre d’autres livres de Georgette Heyer.
Pourquoi la Romance me demandez-vous ? Parce que :
- Il y a des fins heureuses ! Il y a assez de fins misérables et horribles dans la vraie vie pour satisfaire les âmes les plus sombres. Mais des fins heureuses ? Ah elles sont spéciales. Donnez-moi cette magie dans mes livres s’il vous plait.
- C’est centré sur la famille ! Les romances focalisent sur le fait de trouver un amour assez fort pour bâtir une famille. C’est le fondement d’une romance solide et plaisante, et ça l’a toujours été.
- C’est distrayant ! Vous voulez voyager à Londres ? En Ecosse ? Dans l’ouest américain ? En Inde ? En Russie ? J’ai lu des romances situées dans chacun de ces endroits. Vous voulez déjouer un enlèvement ? Remporter un combat à l’épée ? Attraper un contrebandier ? Elucider un mystère ? Sauver une vie ? Lisez une romance.
L’amour ! Parce que sérieusement, c’est ce qui compte dans la vie.

Kresley Cole
Je veux que tous ceux qui, dans le monde, pourraient apprécier la Romance l’essayent. Malheureusement, beaucoup de lecteurs ne le feront jamais à cause des idées préconçues. Avant de choisir votre première romance, en aviez-vous ? J’en avais. Puis un jour, alors que j’étais entre deux romans de science fiction et d’horreur et que j’avais un besoin urgent de quelque chose de nouveau à lire, je suis tombée sur «Une Rose en hiver» de Kathleen Woodiwiss. Au risque de sembler théâtrale - en fait, j’assume ce risque parce que c’est vraiment fichtrement théâtral - le cours entier de ma vie a changé.
Je pense souvent avec un frisson «Et si je n’avais jamais choisi ce livre ?» Et ça me pousse à me demander combien de gens, juste maintenant, passent à côté de la romance qui changerait leur vie. Combien deviendraient d’avides lecteurs, ou vendeurs de livres, ou bibliothécaires, ou écrivains, ou défenseurs du genre ? Combien seraient plus heureux ? Au cours des seize ans pendant lesquels j’ai écrit de la Romance, j’ai rencontré un bon nombre de détracteurs du genre. Plus tôt dans ma carrière, je les affrontais. Finalement j’ai arrêté d’essayer de les faire changer d’avis, mais à présent j’ai un nouveau point de vue…
Imaginez si la Romance était une personne. Ne seriez-vous pas peiné pour elle ? La Romance est intelligente, mais ses détracteurs la considèrent comme stupide. Bien qu’elle soit forte et douée, ils la disent faible et incompétente. Elle valorise, mais elle est vue comme une mauvaise influence. Elle est oubliée pour les publicités et les récompenses, même si les décideurs refusent de considérer son travail. Les critiques de la Romance prétendent que ses déclarations sont toutes les mêmes - mais ils n’écoutent jamais un mot de ce qu’elle dit. A partir de maintenant, je vais soutenir la Romance à chaque occasion. Je vais lui payer un verre parce que, bon sang, elle a vécu des jours difficiles. Je vais lui dire que ça s’améliore, petit à petit. Je vais défendre la Romance aussi loyalement que je le ferais pour mes amis - parce que j’adore cette femme remarquable.

Anne Gracie
Comment j’aime la Romance ?
(Avec mes excuses à Elizabeth Barrett Browning )

How do I #LoveRomance? [Comment j’aime la Romance ?]
Let me count the ways. [Laisse-moi en compter les façons.]
I love it for the depth — of characterization [Je l’aime pour la profondeur - des personnages]
and the breadth — of variety [et l’ampleur - de la variété]
and the height — of my TBR pile. [et la hauteur - de ma pile à lire.]
My hand can reach, when a book is out of sight [Ma main peut se tendre, quand un livre est hors de vue]
For my e-reader for which I need no light. [Vers ma liseuse pour laquelle je n’ai pas besoin de lumière]
I #LoveRomance [J’aime la Romance]
For the endings happy and full of grace. [Pour les fins heureuses et pleines de grâce.]
For offering fulfillment at the close of a weary day. [Pour offrir l’accomplissement à la fin d’un jour fatigant.]
My quiet need, my escape, in sun or candle-light. [Mon besoin calme, mon échappatoire, au soleil ou à la lumière des
bougies.]
I love the worlds where heroines strive for right. [J’aime les mondes où les héroïnes luttent pour la justice.]
I #LoveRomance wholly, though the wider world disdains its praise. [J’aime la Romance entièrement, bien que le monde
dédaigne ses louanges.]
I #LoveRomance. It is passion put to use, [J’aime la Romance. C’est la passion mise à profit,]
To soothe old griefs, and rekindle childhood’s faith [Pour apaiser de vieux chagrins et raviver la foi de l’enfance]
In love. [Dans l’amour.]
I #LoveRomance with a joy I never lose. [J’aime la Romance avec une joie que je ne perds jamais.]
Sinner and saints, heroes and rakes. [Les pécheurs et les saints, les héros et les débauchés.]
I #LoveRomance. It’s the breath, [J’aime la Romance. C’est le souffle,]
Smiles, tears, of life; [Les sourires, les larmes, de la vie ;]
And if you’re good, I shall leave thee my books [Et si vous êtes gentils, je vous laisserai mes livres]
After death. [Après ma mort.]

 


Il y a beaucoup plus à lire sur le site Read a Romance Month, mais avec trois auteurs par jour pendant tout le mois d’août,
je ne pouvais pas tout mettre. Si vous lisez l’anglais, tous ces auteurs et bien d’autres sont à retrouver sur
http://www.readaromancemonth.com/author-calendar-2016/


Rinou


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