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Diana Palmer - Auteur à l'honneur

Fabiola - 20/06/2013

L’auteur du mois n’a pas d’actualité en France depuis le début de l’année, mais c’est un auteur que j’adore, qui est publiée depuis longtemps et que je considère comme la pionnière de la small-town romance. C’est donc l’occasion d’en savoir un peu plus sur elle. Susan Eloise Spaeth nait en décembre 1946 à Cuthbert en Géorgie. Sa mère, Maggie Eloise Cliatt, était infirmière et journaliste et son père, William Olin Spaeth, était professeur à l’université. Susan a une soeur plus jeune, Dannis.

Elle épouse James Edward Kyle le 9 octobre 1972. Ensemble, ils ont un fils unique, Blayne, né en 1980, qui a lui une petite-fille, Selena Marie, née en 2009. Son mari et elle vivent dans une petite ville de Géorgie, et son fils et sa famille vivent dans le Tennessee.

A l’âge de cinquante-quatre ans, Susan décide de retourner à l’université. Elle y obtient une maîtrise d’histoire avec options archéologie et espagnol. Elle adore le jardinage, l’archéologie (ben voyons !), l’anthropologie, les iguanes (l’héroïne de His girl Friday a un iguane comme animal de compagnie, je comprends pourquoi à présent), l’astronomie et la musique.

Susan a travaillé en tant que secrétaire juridique, puis journaliste. Comment en est-elle venue à écrire de la romance ? Le magazine Romantic Times a publié à ce sujet un article en 1982, dans son quatrième numéro : «Tout a commencé pour moi il y a deux ans quand j’ai lu mon premier roman d’amour et que j’ai décidé que puisque mes histoires policières, de science-fiction et mes western avaient tous été refusés au moins deux fois, je pourrais trouver une place dans la Romance. Pendant quelques mois, j’ai lu environ 500 de ces délicieuses histoires, ensuite je me suis assise et j’en ai écrit une.

Après avoir feuilleté mes deux dossiers remplis des refus d’éditeurs – en nombre suffisant pour tapisser une salle de séjour modérément meublée – j’ai eu des doutes et je me suis demandé si je devais l’envoyer, je l’ai donc fourré dans le placard et je suis retournée écrire des articles sur les réunions des Commissions du Comté et
faire de la publicité pour l’association de cardiologie.

C’est là que mon amie Ann m’a regardée et m’a demandé qui allait lire un manuscrit enfermé dans un placard. J’ai répondu qu’il pourrait y avoir une souris passionnée à l’intérieur… elle m’a mise au défi de l’envoyer à un éditeur. Je lui ai dit que je ne pourrais pas supporter un nouveau refus. Elle m’a dit qu’elle allait envoyer le manuscrit et qu’elle ouvrirait même le paquet quand il serait retourné et s’il y avait un refus, elle ne me le dirait pas ! Ca semblait si logique que je l’ai laissée l’envoyer.

Ensuite, j’ai essayé très fort d’oublier que je l’avais fait. Environ un mois plus tard, mon mari m’a appelée alors que j’étais dans le jardin, et j’ai traversé péniblement la maison, avec de la boue jusqu’aux chevilles pour répondre au téléphone. C’était un vrai et réel éditeur qui s’appelait Anne, travaillait pour McFadden, et elle avait aimé mon livre. C’était une bonne chose que je sois assise à ce moment-là. Elle m’a demandé de lui envoyer le reste du livre, ce que j’ai fait, et elle m’a appelée une
semaine plus tard pour l’acheter. J’étais au bureau, en train d’expédier des journaux avec Ann, quand l’appel est arrivé, et mes collègues ont explosé de joie. Waouh, a
dit Ann, maintenant je connais un véritable auteur. Oh ?Ai-je répondu en plein étourdissement, qui

C’est sous le pseudonyme de Diana Palmer (et d’ailleurs, à partir de cette ligne, c’est ainsi que je vais l’appeler) qu’elle commence sa carrière et, bien qu’elle ait utilisé d’autres noms, aujourd’hui c’est celui sous lequel on la connait le mieux. Son premier roman, Now and forever, est publié en 1979 et elle écrira dix romances pour MacFadden.

 

Ses autres pseudonymes :
Susan Kyle pour une trilogie de science-fiction, The Morcai Battalion, dont les trois tomes ont été publiés en 1980 (The Morcai Battalion), 2008 (The recruit) et 2010 (Invictus), ainsi que pour sept romances parues entre 1988 et 1995 chez Warner Books. The Morcai Battalion a été réédité sous le nom de Diana Palmer.

Diana Blayne pour sept romans publiés chez Dell Publishing entre 1982 et 1990.

Katie Currie en 1984 pour un roman publié chez Silhouette Books, Blind promises (Un patient difficile), réédité sous le nom de Diana Palmer.

 

Bien que Diana soit plus connue pour ses romances contemporaines, cela ne l’a pas empêchée de tenter quelques historiques de temps à autre, même s’il s’agissait d’une période plutôt récente, le début du 20ème siècle. Les titres : Amelia paru en 1993 (Amélia la rebelle – J’ai lu A&P 1997) et Nora en 1994 avec des héros qui sont frères, The founding father paru en 2004 ainsi que Noelle paru en 1995 et dont je vous parlerai un peu plus tard, Magnolia (1997), The savage heart (1997), Midnight rider (1998) et Annabelle’s legacy (dans l’anthologie Love’s legacy en 1996).

Le roman Diamond girl (Un amour inattendu) a été adapté en téléfilm par Harlequin en 1998. Il porte le même titre que le livre, que ce soit dans la version originale ou la version française. Il réunit Jonathan Cake et Joely Collins. Si vous êtes curieux, le livre a été publié dans la collection Duo en 1997. Plusieurs de ses romances ont été adaptées en manga, dont un traduit en français dans la collection éphémère Harlequin Manga : Un brûlant désir, publié en 2007, et qui correspond à nouveau à Diamond girl.

Aujourd’hui, Diana a publié plus d’une centaine de romans et reçu un grand nombre de récompenses, dont une pour sa carrière de la part du Romantic Times. Il serait très difficile de dire pourquoi elle a autant de succès. En ce qui me concerne, elle met en scène les personnages qui habituellement me font fuir : un héros macho qui traite mal l’héroïne pendant une bonne partie du livre, allant même jusqu’à la mettre en rivalité avec une autre, et une héroïne très naïve, qu’elle soit vierge ou pas, incapable de lui résister malgré tout et qui se laisse facilement manipuler. Pourtant il y a quelque chose chez cet auteur qui attire le lecteur, moi comprise. A savoir le style entrainant, l’émotion qui se dégage de chacun de ses romans et… ses héros, quand même.

Parce que même s’ils traitent mal l’héroïne, ils sont vraiment fidèles. C’est-à-dire qu’une fois qu’ils l’ont rencontrée, ils ne papillonnent pas. Quand ils couchent avec d’autres personnes, c’est soit parce qu’ils se sont mariés, soit parce qu’ils ne voyaient pas l’héroïne comme étant quelqu’un pour eux. En effet, dans beaucoup de ses histoires, les héros se connaissent depuis de longues années, à l’époque où l’héroïne était encore adolescente. Les thèmes qu’elle affectionne sont les retrouvailles et la prise de conscience du héros de ses sentiments pour l’héroïne. Lorsqu’il s’agit de retrouvailles, à moins que le héros ne se soit marié avec une autre personne, il est souvent obnubilé par l’héroïne, à tel point qu’il n’a eu aucune autre aventure sentimentale entre-temps. Et cela peut durer plusieurs années.

Oui, oui, je sais ce que vous allez vous dire : quoi ? Un homme qui ne couche avec personne pendant une longue période ? C’est une blague ? Eh bien pas pour Diana. Tout comme on peut trouver dans ses romans des hommes vierges, même à plus de trente ans. Je peux citer Sutton’s way (Dame de pique, homme de coeur – Harlequin Azur 1991), Merciless ou encore la nouvelle concernant Jobe Dodd dans l’anthologie A long tall Texan summer. D’ailleurs, dans cette nouvelle Jobe explique à Sandy, l’héroïne, qu’elle est arrivée dans sa vie à une période très difficile pour lui, car il ne supportait pas les femmes, ensuite il est tombé follement amoureux d’elle. Il n’en a jamais voulu d’autre depuis. Elle avait seize ans à cette époque, lui vingt-six. Ils deviennent un couple dix ans plus tard. Il précise même à la fin de la nouvelle qu’ils ne coucheront pas ensemble avant le mariage, car il souhaite être habillé en blanc le jour J. ?

Pourquoi Diana inclut-elle des héros vierges dans certaines de ses histoires ? «Dans ce monde compliqué où le sexe est devenu un petit bonus lors d’une soirée plutôt qu’une partie intégrante d’un amour beau et solennel entre deux personnes, je pense que la virginité est sexy. Je n’aime pas la promiscuité. Bizarrement, au début du 20ème siècle, on s’attendait à ce que même les hommes attendent le mariage pour se l’autoriser. Je pense que ça aussi, c’est sexy. Okay, je suis un dinosaure, je l’admets. Je n’appartiens pas au monde moderne

Les héros sont également beaucoup plus âgés que les héroïnes, cela peut varier entre dix et quinze ans. Dans la plupart de ses romans, c’est l’un des obstacles que doit surmonter cette dernière. Il lui faudra prouver qu’elle est suffisamment mature pour savoir ce qu’elle veut vraiment. Ajoutez à cela le fait qu’elles soient régulièrement très prudes (de par leur éducation ou leur passé), croyantes, pratiquantes et qu’elles aient même du mal à prononcer le mot «sexe» haut et fort, et vous avez le deuxième obstacle à leur relation : la plupart du temps, les héros couchent ensemble pour la première fois pendant leur nuit de noces. Quelques fois, ils se marient à la fin du livre. Il y a quand même des exceptions, je tiens à le préciser.

Diana met également en scène des héroïnes au passé tragique. Cela peut aller d’une tentative de viol (The Texas ranger – Double trahison chez Harlequin Best Sellers 2009), au viol du beau-père (Renegade – L’empire de la passion chez Harlequin Prelud 2007) ou encore à l’enlèvement, au viol et à la tentative de meurtre par un serial killer (Lawman – Les roses écarlates chez Harlequin Prelud 2008). Habituellement pas ma tasse de thé non plus, d’autant qu’elles sont mineures lors de ces événements, ce qui ne m’a pas empêchée de lire ces romans. Et puis, même si on sait que les héroïnes sont
traumatisées, Diana ne s’attarde pas sur les événements passés, ce qui permet au lecteur d’avoir du recul.

J’espère avoir été assez claire sur ce qui fait que j’aime Diana Palmer et vous avoir tenté pour que vous puissiez essayer l’un de ses livres. Si vous êtes sensible, préparezvous à pleurer ou à vouloir frapper le héros et secouer l’héroïne. Mais Diana Palmer sait entraîner le lecteur dans son histoire et le mieux c’est d’essayer si vous ne la connaissez pas. Et en attendant que vous découvriez ses romances, je vous propose une présentation de sa plus longue série : Long, tall, Texans.

Diana a toujours adoré les histoires de cowboys. Elle a grandi avec les romans de Zane Grey, qui écrivait des aventures se déroulant dans l’Ouest américain. Il était donc logique qu’elle bâtisse sa carrière sur ce thème. Quant à cette longue série, le nombre de tomes est dû au fait qu’il y a officiellement des romans faisant partie de la série, ainsi que d’autres qui y sont reliés. Quelquefois c’est une série entière qui est connectée à Long, tall,
Texans.

Comme je le précisais dans le dossier et dans l’introduction, pour moi c’est une série qui pourrait facilement être cataloguée small-town romance. Parce que l’action se situe dans une petite ville, Jacobsville au Texas, et qu’elle n’existe pas. De plus tout le monde se connait, et cela depuis des générations. Il y a des personnages récurrents : les frères Calhoun qui assurent au niveau politique, l’avocat Blake Kemp, le médecin de la ville, le Dr Coltrain, les frères Hart et les frères Tremayne. Ils ont bien évidemment chacun leur âme soeur.

Nous n’avons pas toujours le retour ou l’arrivée d’une personne de la grande ville, mais cela peut arriver. Par contre nous sommes en plein cas de figure où l’auteur peut très bien écrire l’histoire d’un personnage qui n’était pas prévu au départ. Je peux citer par exemple Rick Marquez, qui apparait dans Lawman en 2007 et a son histoire dans True blue en 2011. De la même manière, Diana a publié The founding father en 2004, mettant en scène Big John Jacobs, le fondateur de Jacobsville, alors que la série a officiellement débuté en 1988. Et puis il peut y avoir des frères et/ou soeurs, ou des demifrères/ soeurs, ou des cousins, un pour commencer, la mention d’un second… et voilà que Diana nous écrit l’histoire des autres membres de la famille dans la foulée. Cela a été ainsi pour les frères Tremayne, les frères Hart ou encore les frères Grier, et j’en passe. Tout cela, donc, pour expliquer que oui, Long, tall, Texans est une série typique de la small-town romance.

Et puisque sur le site, nous ne pouvons pas relier les séries entre elles, je me propose de vous faire ici un récapitulatif par ordre de lecture avec éventuellement le nom des sous-chapitres ou des séries officielles des tomes quand c’est possible. A ce sujet, je tiens à préciser que tous les tomes n’ont pas été mis ensemble, soit parce qu’ils étaient publiés dans des collections ou chez des éditeurs différents (Silhouette ou Mira) soit parce que certains romans sont parus en grand format. Le problème est que la lectrice que je suis s’y perd facilement. Merci à tous les sites référençant ces livres dans l’ordre. Je pourrais bien sûr vous envoyer directement vers l’une de ses pages, mais ce serait sans les correspondances en VF. Tous les romans traduits ont été publiés chez Harlequin.

Préquel: (sous-chapitre La famille Jacobs 01) The founding father (anthologie A hero’s kiss) (2003)
1 - (sous-chapitre Les frères Ballenger 01) Calhou (1988)
2 - (sous-chapitre Les frères Ballenger 02 & La famille Jacobs 01) Justin (1988)
3 - (sous-chapitre La famille Jacobs 02) Tyler (1988)
4 - Sutton's Way (1989) – Dame de pique, homme de coeur
5 – (sous-chapitre Les frères Tremayne 01) Ethan (1990)
6 - (sous-chapitre Les frères Tremayne 02) Connal (1990)
7 - (sous-chapitre Les frères Tremayne 03) Harden (1991) – Une femme en détresse
8 - Evan (1991)
9 - Donovan (1992) – Amoureuse d’un cowboy
10 – (série Most Wanted 01) The case of the mesmerizing boss (1992)
11 - (série Most Wanted 02) The case of the confirmed bachelor (1992)
12 – (série Most Wanted 03 & sous-chapitre Les frères Deverell 01) The case of the missing secretary (1992) – Comment séduire Logan Deverell ?
13 – (sous-chapitre Les frères Deverell 02) Emmett (1993)
14 - Regan's pride (1994)
15 - That Burke man (1995)
16 - Redbird (dans l’anthologie Lone Star Christmas) (1995)
17 - The patient nurse (1997) – La patiente du Dr Cortero
18 - Coltrain's proposal (1995) – Coupable attraction
19 - Betrayed by love (1987) – Inavouables secrets
20 - Paper husband (dans l’anthologie Husbands on Horseback) (1996) – Un destin merveilleux paru dans l’anthologie Cherche mari idéal (2004)
21/22/23 – L’anthologie A Long tall Texan Summer (1997)
24 – (sous-chapitre Les frères Hart 01) - Christmas cowboy (dans l’anthologie Lone Star Christmas) (1997) – Les fiancés de l’hiver, paru dans l’anthologie Magie d’hiver (2008)
25 - The princess bride (1998) – Passion texane
26 – (Série Hutton & Co 01) Once in Paris (1998) – Les chemins du désir
27 - The savage heart (1998) (L’histoire des arrière-grands-parents de Tate, héros du tome 28, mais comme ils ne portent pas le même nom de famille, impossible de créer un souschapitre)
28 – (série Hutton & Co 02) Paper Rose (1999) – La rose rouge
29 - (sous-chapitre Les frères Hart 02) - Beloved (1999)
30 - (sous-chapitre Les frères Hart 03) - Callaghan's bride (1999) – Pour l’amour d’un cowboy
31 – (série Rawhade and Lace 02 & souschapitre La famille Jessup 01) Unlikely lover (1986) – Entre folie et raison
32/33/34 – L’anthologie Love with a Long, tall Texan (1999) avec le sous-chapitre La famille Jessup 02 pour la première nouvelle ainsi que le sous-chapitre Les frères Deverell 03 pour la deuxième nouvelle
35 - Matt Caldwell : Texas Tycoon (2000)
36 – (série Soldier of Fortune 01) Soldier of fortune (1985) – Au coeur de la jungle
37 – (série Soldier of Fortune 02) The tender stranger (1985)
38 – (série Soldier of Fortune 03) Enamored (1988) – Coeur volcan
39 – (collection spéciale multi-auteurs Fabulous fathers) Mystery man (1997) – Dans la douceur de l’été, réédité sous le titre Un été pour séduire
40 – (série Soldier of Fortune 04) Mercenary's woman (2000)
41 – (série Hutton & Co 03 & sous-chapitre La famille Brannon 01) Lord of the desert (2000) – Le seigneur des sables
42 – (série Soldier of Fortune 05) The winter soldier (2001)
43 – (série Hutton & Co 04 & sous-chapitre La famille Brannon 02) The Texas ranger (2001) – Double trahison
44 – (série Soldier of Fortune 06) The last mercenary (2001)
45 - (sous-chapitre Les frères Hart 04) A man of means (2002)
46 - Garden cop (dans l’anthologie With a Southern Touch) (2002)
47 – (série Hutton & Co 05) Desperado (2002) – La loi du désir réédité sous le titre Le voile du passé
48 - (sous-chapitre Les frères Hart 03) Lionhearted (2002) – Les fiancés du Texas
49 – (sous-chapitre La famille Dunn 01) Noelle (1993)
50 - (sous-chapitre La famille Dunn 02) Lawless (2003) – Par un été brûlant
51 - (série Marrist sisters 01) His girl Friday (1989)
52 – (série Marrist sisters 02) Hunter (1990) – Le chasseur du désert
53 - True colors (1991) – La vengeance au coeur
54 - Man in Control (2003)
55 - After the music (1985) – Aux flammes de la passion
56 - Cattleman's pride (2004) – Passion secrète
57 – (sous-chapitre Les frères Grier 01) Renegade (2004) – L’empire de la passion
58 - Carrera's bride (2004) – Coup de foudre aux Bahamas
59 - Boss Man (2005) – La tentation du désir
60 - Outsider (2006) – Nuit de braise
61 - Heartbreaker (2006)
62 - (sous-chapitre Les frères Grier 02) Lawman (2007) – Les roses écarlates
63 - Winter rose (2007) – Idylle au Texas
64 - Iron cowboy (2008) – Au bout de la passion
65 – Fearless (2007)
66 - Heart of stone (2008) – La femme d’un autre
67 – Heartless (2008)
68 – The maverick (2009)
69 - Tough to tame (2010)
70 - Silent night man (2008) (dans l’anthologie Married by Christmas) – Un Noël sous haute protection paru dans l’anthologie Coup de coeur Spécial Noël (2011)
71 – Dangerous (2010)
72 – Merciless (2011)
73 - True blue (2011)
74 – Courageous (2012)
75 – Protector (juillet 2013)

Et voilà comment une série contenant officiellement quarante-deux tomes se transforme en l’une des plus longues que j’aie jamais vu. Et encore, je suis certaine qu’il y a des liens que j’ai dû oublier. N'hésitez pas à les signaler. Il est assez facile de les lire dans le désordre, mais il vaut mieux quand même, et dans la mesure du possible, les lire dans l’ordre (oui, je sais, tout n’est pas traduit et vu la date des premiers tomes, cela n’arrivera sans doute jamais). Parce que, régulièrement, Diana mentionne ses anciens héros dans les histoires et le lecteur se demande, dans ce cas, mais qui est-ce ? Et puis il y a aussi les cas (de plus en plus rares) où un personnage mentionné n’a pas encore son histoire mais un grand potentiel. Je pense par exemple à Margie Cobb (soeur du héros du tome 54) et Derek, son cousin par alliance (en fait, il n’y a aucun lien de sang) qui, je pense, pourraient former un couple, ou encore les deux autres frères Grier. Affaire à suivre donc…


Fabiola

 

Sources
http://en.wikipedia.org/wiki/Diana_Palmer_(author)
http://www.loveromancepassion.com/get-intobed-with-diana-palmer-author-interview/
http://www.dianapalmer.com/dcforum/DCForumID12/13.html
http://fr.scribd.com/doc/136332931/59952229-Diana-Palmer-Reading-Order-for-Texan-Universe

La page de l'auteur http://www.lesromantiques.com/?u=2171/Diana-Palmer


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