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Julienne Hippolyte d’Estrées - Scandaleuse

lafouine77 - 25/04/2015

Duchesse de Villars (1580-1649)

  • Année du scandale : 1609
  • Epoque : règne d’Henri IV
  • Objet du scandale : elle tombe follement amoureuse d’un jeune capucin lors d’un prêche de ceui-ci dans une église du Havre. Elle le poursuivra de ses assiduités jusqu’à Paris où il trouvera refuge.

 

 

Julienne Hippolyte d’Estrées est l’avant dernier enfant d’Antoine d’Estrées, marquis de Coeuvres, et de son épouse Françoise Babou de la Bourdaisière (dont l’histoire a été racontée dans le Webzine n°30).

 

Elle est née vers 1580, et sera le témoin du massacre de samère et de son amant, Yves d’Alègre, survenu à Issoire en juin 1592. Seules Julienne Hippolyte et sa jeune sœur Marie Françoise (née de la liaison de sa mère avec Yves d’Alègre) auront la vie sauve. Les jeunes filles seront expédiées à Paris chez leur père, qui les confiera à leur sœur ainée, Gabrielle d’Estrées, duchesse de Beaufort, marquise de Monceaux, maîtresse du roi Henri IV.

 

C’est Gabrielle qui facilitera le mariage de sa jeune sœur.Son choix se porte sur un jeune homme prometteur : Georges de Brancas, chevalier d’Oise. Il est le troisième fils d’Ennemond de Brancas, baron d e Villars, et de Catherine de Joyeuse.

 

Les mauvaises langues affirment que la future Marquisede Villars vivait depuis quelques mois en concubinage avec Georges de Brancas avant de l’épouser. Ce qui est sûr c’est que le frère de Georges, l’amiral André de Brancas, avait auprès de lui ce jeune frère au talent prometteur lorsqu’il se soumit au roi Henri IV en lui livrant la ville de Rouen en mars 1594.

Il est possible que Julienne et Georges se soient rencontrésà ce moment-là et qu’il y ait eu une attirance réciproque. Julienne avait quatorze ans et Georges vingt neuf. La mort inopinée de son frère (tué par les espagnols en juillet 1595) fait de lui son unique héritier, Georges devient seigneur de Villars.

 

En novembre 1596 Gabrielle d’Estrées, qui a suivi le roien Normandie, donne naissance à une fille, Catherine Henriette de Bourbon, au logis du roi à Rouen. Il s’agit de son deuxième enfant après César de Vendome. L’influence de la favorite sur Henri IV est alors à son apogée : elle en profite pour organiser les noces de sa jeune sœur. Deux mois plus tard, le mariage de Julienne Hippolyte d’Estrées et Georges de Brancas est célébré à Roue, où la cour se trouve toujours.

 

Les noces ont lieu sur deux jours, les 6 et 7 janvier 1597,les fêtes sont magnifiques. L e contrat est signé au logis du roi, et par Henri IV en per sonne. Le futur époux apporte dans la corbeille de mariage cent cinquante mille écus provenant de l’assignation ordonnée par le roi en faveur de l’amiral de Villars, son frère. Quant à la dot de la future épouse, elle est de 40 000 écus dont 10 000 proviennent d’un don de sa sœur, Gabrie lle d’Estrées.

 

Georges de Brancas, chevalier d’Oise, a succédé à sonfrère l’amiral, mort sans postérité, dans ses biens et sa lieutenance en Normandie. D’abord destiné à l’ordre de Malte car il était né troisième fils, il avait quitté les ordres pour se lancer dans la carrière militaire et suivi son frère dans ses succès, au départ dans le parti de la Ligue, puis dans celui du roi Henri IV.

 

En 1586 il avait obtenu le commandement de trois navires, il fut ensuite capitaine de deux compagnies, l’une de cent chevaux légers et l’autre de cent arquebusiers à cheval lors du voyage d’Henri IV en Franche Comté. Il s’était distingué en 1595 à la bataille de Fontaine Française.

 

Il semble profondément amoureux de Julienne Hippolyte d’Estrées, et pourtant au bout de quelques jours de mariage il s’en retourna seul au Havre, lieu de son gouvernement, et autorise sa femme à rester près de sa soeur Gabrielle, dont le statut de favorite s’affermit de jour en jour auprès d’Henri IV, qui ne peut rien refuser à la jeune femme, ni aux siens. D’ailleurs le roi était sur le point de l’épouser quand la belle Gabrielle a rendu son dernier soupir à Paris, en donnant naissance à un enfant mort-né le 10 avril 1599.

 

Cette mort soudaine pousse Mme de Villars à quitter Paris pour le Havre afin de retourner auprès de son époux, d’autant que quelques mois après la mort de Gabrielle d’Estrées, une autre favorite pointe le bout de son nez, la très rusée Henriette de Balzac d’Entragues, future duchesse de Verneuil. Il semble que Julienne Hippolyte ait tenté de prendre la place de sa soeur défunte dans le coeur du roi, mais s’il y eut une relation avec Henri IV elle ne fut que très passagère, dans le courant de l’année 1599.

 

Les contemporains font à la jeune Mme de Villars une réputation de femme galante. N’est-elle pas tombée amoureuse du beau François de Bassompierre, qui va bientôt la délaisser pour la soeur de la favorite, la jeune Marie de Balzac d’Entragues ? Pourtant Mme de Villars est jolie, le tableau que l’on a d’elle alors qu’elle se tient auprès de Gabrielle d’Estrées au bain en est la preuve. Il existe deux reproductions de ce tableau, où elle saisit le téton de Gabrielle (signalant ainsi que cette dernière était enceinte, surement de sa fille Catherine), qu’on a donc pu dater et qui semble avoir été exécuté en 1596. Elle est aussi brune que Gabrielle est blonde, et la princesse de Conti la décrit ainsi : «Mme de Villars était fort galante, elle avait les yeux petits, et la bouche grande mais sa taille, ses cheveux et son teint étaient incomparables…»

 

Entre le Havre et Paris, où elle effectue divers séjours, Julienne donne naissance à cinq enfants : trois filles, Marie future Marquise d’Ampus, Françoise qui mourra jeune, et Madeleine Hyppolite qui finira religieuse aux Ursulines de Narbonne. Son fils aîné, Louis François, naitra malheureusement bossu et le second, Charles de Brancas, sera chevalier d’honneur de la reine Anne d’Autriche et surnommé «le distrait» par Mme de Sévigné dans ses lettres.

 

En 1608, Julienne Hippolyte d’Estrées fait parler d’elle en ayant part à un scandale qui la chassera de la cour pour quelques années. Elle est alors devenue une confidente de la reine Marie de Médicis et ne peut pas souffrir la favorite, la tenace et intriguante Henriette de Balzac d’Entragues, qu’elle considère comme son ennemie. Non seulement elle a remplacé Gabrielle d’Estrées comme favorite d’Henri IV, mais elle a aussi définitivement anéanti les espoirs de Julienne, qui avait entamé un début de liaison avec le roi à la mort de Gabrielle. De plus la marquise de Verneuil vient de lui ravir son dernier amant en date, le jeune Claude de Lorraine prince de Joinville (futur duc de Chevreuse). La duchesse de Villars enrage positivement de voir que le jeune homme a entamé une correspondance régulière avec Henriette et qu’il la délaisse pour elle.

 

Désireuse de se venger, Julienne s’empare de certaines des lettres du jeune homme (qui continuait à venir la voir) et, avec l’approbation de la reine Marie de Médicis, prend sur elle d’approcher Henri IV pour lui faire lire les missives enflammées que la marquise de Verneuil adresse à son jeune amant, et où elle ridiculise le roi et son épouse.

 

Henri IV avait toujours gardé une amitié pour la jeune soeur de Gabrielle et il lui accorde une entrevue sans plus attendre. A la lecture des lettres, le sang du roi ne fait qu’un tour : il exile le jeune Joinville (qui a déjà eu l’outrecuidance de mettre dans son lit une autre maitresse du roi, la belle Charlotte des Essarts) puis somme la marquise de Verneuil de s’expliquer.

 

Celle-ci, qui connait finement le roi, joue les innocentes, proclame que les lettres sont fausses et que les jaloux souhaitent sa perte. Le roi, attendri et faible, écoute sa favorite et le couperet tombe : Mme de Villars est chassée de la cour malgré ses protestations. Elle s’en retourne au

Havre rejoindre son époux. La même année, George de Brancas achète la seigneurie de Graville et de Grandcamp à Jacques Ligier, secrétaire du roi. En 1609, Mme de Villars (devenue Mme de Graville) fait à nouveau parler d’elle alors qu’elle est toujours exilée au

Havre. Elle est tombée amoureuse d’un capucin, le père Henri de la Grange Palaiseau. C’est un bel homme et il possède un esprit captivant, mais c’est aussi un homme pieux.

 

Tallemant des Réaux raconte la suite dans ses Historiettes : «Mme de Villars devint passionnément amoureuse de lui, et pour le tenter s’ajustait le mieux qu’il était possible. Elle portait une espèce de pourpoint avec un haut de chausses et une petite jupe de gaze par-dessus, de sorte qu’on voyait tout le haut de chausses au travers. Elle portait de plus un chapeau avec des plumes et se mettait tous les jours vis-à-vis de la chaire, sans masque et la gorge fort découverte (c’était ce qu’elle avait de plus beau). Mme de Villars avait les yeux petits et la bouche grande, mais sa taille, ses cheveux et son teint étaient incomparables. Mais le capucin restait de marbre, elle demanda alors à Rome la permission d’avoir comme confesseur le père Henry de la Grange. Elle obtient l’autorisation et demande alors à son confesseur de l’aider à se confesser de ses vieux péchés, celui-ci vient mais alors, elle le persuade de lui en faire faire de nouveaux. Le bon père tente de la tancer vertement, mais elle fait tout pour l’exciter et lui montre ce qu’elle ne pouvait montrer durant le sermon : tout.

Cela ne servit à rien ; il la laisse demifolle. Il tente de quitter la ville, elle le sait, monte à cheval et lui court après. Elle l’attrape dans un bois et le presse de revenir. Il se dépètre d’elle, prend son cheval et s’enfuit vers Paris. L’amante délaissée, afin d’avoir un prétexte pour aller à Paris, feint d’être malade et de vomir du sang. Elle se fait porter à Paris dans un brancard pour s’y faire traiter et écrivit en vain au Père de la Grange, mais voyant qu’il n’y avait plus d’espérance, elle se guérit toute seule…»

 

En 1613 elle prend pour amant Georges de Scudéry, lieutenant du Havre (et par conséquent bras droit de son époux). Bientôt lassé de sa maîtresse, celui-ci rejette la belle Julienne. Mal lui en prend, cette dernière prend en grippe le lieutenant de son époux et parviendra à le  ruiner. Il mourra démuni de tout. En 1613 la seigneurie de Graville est érigée en marquisat et Julienne Hippolyte devient marquise de Graville.

 

En 1619, George de Brancas est nommé chevalier des ordres du roi et présente ses preuves, faites en Provence, par les sieurs de Vins et de la Barben, le 12 décembre 1619, aux ducs de Montbazon et maréchal de Saint Luc, ses commissaires. En 1620 il hérite la baronnie d’Oise de son frère aîné, Gaspard de Brancas, mort sans héritier.

 

En 1621, Julienne Hippolyte se trouve au Havre où elle devient la bienfaitrice du couvent des Capucines, comme en témoigne l’inscription retrouvée en 1828 dans les fondations du couvent : «L’an de salut 1621 le 10ème jour de juin cette pierre a été posée par très puissante dame Hipolite d’Estrées, femme de Monsieur de Villarz, marquis de Graville, gouverneur de cette ville, Harfleur, Moteville, laquelle a fait batir cette chapelle en l’honneur de la Vierge».

 

En 1625, Georges de Brancas équipe vingt-cinq vaisseaux de guerre à ses dépens pour servir le roi Louis XIII contre les religionnaires. Il est alors fort bien en cour, où Richelieu le prend en faveur. En 1626 il n’a plus le gouvernement de la place du Havre, convoité par le cardinal de Richelieu. Ce dernier devient gouverneur du Havre suite à une vente organisée par Julienne Hippolyte d’Estrées, qui a obtenu pour cela procuration de son mari. Le 3 novembre 1626 Mme de Villars vend pour 245 000 livres le marquisat de Graville et de Grandcamp à Richelieu. Le couple a grand besoin d’argent, car il dépense sans compter.

 

S’il perd le gouvernement du Havre, George de Brancas en obtient un autre : celui de Honfleur de 1626 à 1632. Il devient aussi lieutenant général du roi au gouvernement de Normandie. En septembre 1627 le roi Louis XIII crée pour Georges de Brancas la duché pairie de Brancas. La baronnie d’Oise, unie à celles de l’Ile de Champtercier et de Villars, est érigée en duché sous la dénomination de Villars-Brancas. La terre de Villars se situe dans le diocèse d’Apt, en Provence : c’est une terre sans château, un hameau sans remparts, mais dominé par une tour (c’est d’ailleurs là que George de Brancas finira sa vie plus tard). Les lettres du roi sont enregistrées au Parlement de Provence en 1628 et le duché érigé en duché pairie en juillet 1652.

 

La même année, Charles de Gonzague duc de Nivernais, gouverneur de Champagne en Brie, vend à Georges de Brancas et à Hyppolite d’Estrées, son épouse, la baronnie, terre et seigneurie de la Ferté Bernard. La toute nouvelle duchesse de Villars fréquente alors la petite cité de la Ferté Bernard (où l’on peut d’ailleurs trouver son portrait équestre dans une des salles de l’Hôtel de Ville).

 

En 1649, les contemporains remarquent que la duchesse de Villars n’a jamais été assise au Louvre que deux ou trois fois cette année, et qu’elle vient de plus en plus rarement à la cour. C’est que l’argent vient à manquer au ménage. Tallemant des Réaux prétendra que Julienne Hippolyte n’hésitait pas à subir les galanteries d’un prêteur sur gage dénommé Moisset, afin de pouvoir régler ses dettes et celles de son mari.

 

Il consacrera une de ses Historiettes à Julienne Hippolyte d’Estrées «La plus grande escroqueuse du monde» : «Quand il fallut sortir du Hâvre pour ne point faire crier toute la  ville, car elle devoit à Dieu et au monde, elle fit publier que tous leurs créanciers vinssent un certain jour parler à elle. Elle parla à tous en particulier, leur avoua qu’elle n’avoit point d’argent, mais qu’elle avoit en deux ou trois lieux qu’elle leur nomma, des magasins de pommes à cidre pour dix ou douze mille écus, qu’elle leur en donneroit pour les deux tiers de leur dette, et une promesse pour le reste payable en tel temps. Elle disoit cela à chacun d’eux avec protestation qu’elle ne traitoit pas les autres de la sorte, et qu’il se gardât bien de s’en vanter. Les pauvres gens, les plus contents du monde, prirent chacun en paiement un ordre aux fermiers de donner à l’un pour tant de pommes et pour tant à l’autre, mais quand ils y furent, ils ne trouvèrent en tout que pour cinq cents livres de pommes.»

 

Tallemant des Réaux dépeint aussi le mari, Georges de Brancas, dans ses Historiettes :

«Quant au mari il n’y a jamais eu un si pauvre homme, lui et sa femme ont mangé 800 000 écus d’argent comptant et 60 000 écus de livres de rente en fonds de terre dont il n’en est resté que dix sept qui étaient substituées… Ils avaient eu une terre de vingt cinq mille livres de rente, de l’argent qu’il eut du cardinal de Richelieu pour le Havre de Grace, la lieutenance de roy de Normandie (en 1626) et le vieux palais de Rouen. Il reçut un brevet de duc en 1627 et fut reçu au parlement de Provence…

 

Lui aussi avait été fort galant et, selon Tallemant, n’avait pas hésité à se montrer ridicule lors de l’un de ses séjours à Rouen, où il était tombé amoureux d’une dame qui prenait les eaux à une fontaine de la ville : «Brancas ne manquait pas d’y faire porter des corbeilles pleines de fleurs, de gants, d’éventails et de rubans. Mais il mêlait toujours les «hem !» et les «pardy !» à ses discours et il disait donc à la dame : «hem ! je vous le dis, pardy ! Madame, je vous en prie, les genoux du coeur à terre, et le coeur en cendres»…»

 

Les deux époux avaient donc fini par prendre leurs distances l’un vis à vis de l’autre. A la fin de sa vie, la duchesse de Brancas fut peut-être victime d’une grave maladie, en tout cas elle devint si effacée qu’on ne connaît même pas la date exacte de la mort de Julienne Hippolyte d’Estrées, mais son décès se situe surement pendant l’été 1649 à Paris. Elle aurait donc eu soixante-neuf ans. Elle est déclarée décédée au premier mariage de son fils aîné (il y en aura trois), Louis François de Brancas, qui aura lieu à Paris le 26 septembre 1649 avec Madeleine Claire de Lenoncourt.

 

Son mari, Georges de Brancas, sera lui présent à ce mariage, ainsi qu’à celui de son fils cadet, Charles, l’année suivante. Le 28 février 1652 il rédige son testament, dans lequel il énonce les biens qu’il a en Auvergne, provenant de Marie de Berton Crillon sa demi-soeur (la mère de

Georges, Catherine de Joyeuse, s’était remariée en 1571 à Claude de Berton des Balbes, seigneur de Crillon). Après cela, certainement pour fuir ses créanciers, le duc de

Villars se retirera sur ses terres du Vaucluse, à Maubec dans le Comtat Venaissin, où il rendra l’âme le 23 janvier 1657 à l’âge de quatre-vingt-douze ans.

 

Quant à Julienne Hippolyte d’Estrées, Tallemant des Réaux a pour toujours dépeint la jeune femme ainsi : «une folle qui perdait toute retenue dans ses désordres amoureux» et l’histoire ne l’a pas traitée autrement. Il nous reste d’elle le superbe portrait de Gabrielle d’Estrées au

bain, où elle figure sur la gauche.

 

Lafouine 77

 

Sources : Henri IV d’André Castelot.

Historiettes de Tallemant des Réaux

 

Descendants de Julienne Hippolyte d’Estrées duchesse de Villars

• Marie, née vers 1598, baptisée le 1er mars 1605, décédée après 1654, dame d’honneur de la reine Anne d’Autriche de 1652 à 1654.

Mariée le 13 juillet 1613, Paris, avec Henri de Castellane, marquis d’Ampus, décédé en 1656.

• Louis François, duc de Villars (2e), né vers 1610, décédé le 14 octobre 1679 (à l’âge de peut-être 69 ans), maréchal de camp à Lugny en 1650.

Marié le 26 septembre 1649 avec Madeleine Claire de Lenoncourt, née vers 1613, décédée le 16 août 1661, Paris (à l’âge de peut-être 48 ans), fille d’honneur d’Anne d’Autriche de 1638 à 1643.

Marié le 22 avril 1662 avec Marie Madeleine Girard, décédée le 20 avril 1674.

Marié le 10 septembre 1678 avec Louise de Fautereau, née vers 1650, décédée le 11 février 1701, Paris (à l’âge de peut-être 51 ans).

• Charles, marquis de Maubec et d’Apilly, comte de Villars, né vers 1618, décédé le 8 janvier 1681, Paris, inhumé, aux Carmélites du faubourg St Jacques à Paris (à l’âge de peut-être 63 ans), chevalier d’Honneur de la Reine Anne d’Autriche le 19 juin 1661.

Marié le 5 janvier 1650, Paris, avec Suzanne Garnier, décédée le 3 novembre 1685.

• Françoise, morte jeune.

• Madeleine Hyppolite, religieuse aux Ursulines de Narbonne


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