Le site francophone dédié au roman féminin

Alyssa Cole - Auteur à l'honneur

Fabiola - 28/01/2021

Alyssa Cole est une auteure touche à tout. Elle écrit aussi bien de la romance (historique, paranormale et science-fiction) que des thrillers. Après une première publication dans la collection Aventures & Passions, J’ai lu a décidé de traduire le premier tome de sa série à succès « Reluctant royals ».

Alyssa est une jeune auteure. Dans mon jargon, cela signifie qu’elle a publié son premier roman il y a moins de dix ans. Sa première influence littéraire était Stephen King, mais elle a toujours été attirée par la romance. « J’ai toujours été intéressée par les histoires d’amour, même avant de savoir ce qu’était l’amour je pense. J’ai lu toutes sortes de livres (en étant bien trop jeune pour cela), et j’aimais vraiment, vraiment ceux qui contenaient de la romance (et des baisers, ahem !) »

C’est vers l’âge de onze ans qu’elle découvre The color of love (non traduit) de Sandra Kitt, la première auteure afro-américaine à mettre en scène des personnages noirs et des couples mixtes (webzine de septembre 2008 : http://www.lesromantiques.com/Webzine/Webzinesept2008.pdf). Forcément, non seulement ça l’intrigue mais ça lui donne l’espoir de pouvoir ellemême écrire une histoire du même type. « C’était la première fois que j’avais vraiment l’impression qu’une héroïne de romance me ressemblait de plusieurs façons, y compris par la couleur de sa peau. (Habituellement au cours de ma lecture je supprimais « clair/couleur crème/ ivoire » etc. et je le remplaçais par « brun » dans ma tête, pour être honnête). »

Bien sûr elle est encore trop jeune pour se lancer dans l’écriture, mais elle ne perd pas son objectif de vue et c’est donc ce genre qu’elle choisit quand elle débute sa carrière. Ce qui lui plaît tant dans la romance ? « Le HEA, la fin heureuse, bien sûr. J’avais tendance à écrire des trucs très sombres, même quand j’étais enfant – après tout, mon auteur préféré était Stephen King. Mais même dans un roman d’horreur, en général le livre ne se termine pas avec notre héros qui perd face aux forces des ténèbres, pas vrai ? La Romance fonctionne de la même façon. Vous savez que même si les personnages traversent un enfer, à la fin leur débrouillardise et le(s) partenariat(s) qu’ils ont formés les emmèneront vers ce HEA, et en bonus il y aura, avec un peu de chance, des joutes verbales et du sexe en cours de route. »

Selon elle, trois éléments sont essentiels pour faire une bonne romance :
1. – Une bonne construction du monde, où le cadre de l’histoire est intégralement lié à l’intrigue et aux personnages et où tout se combine pour vous captiver et rendre impossible de poser le livre.
2. – Une vraie profondeur émotionnelle, qui fait monter les enjeux bien plus que l’intrigue ne le pourrait. C’est une chose de souhaiter que les personnages survivent, c’en est une autre de vouloir qu’ils vivent. D’être tellement investi dans l’issue de leur parcours émotionnel que vous avez peur que quelque chose ne se passe mal et que la possibilité d’atteindre le bonheur leur soit enlevée – même si vous savez que, parce que c’est une romance, il y a la garantie d’un HEA ! (C’est le problème avec le fait que la romance soit « stéréotypée » - certes il doit y avoir une fin heureuse, mais vous avez tout intérêt de faire craindre au lecteur qu’il n’y en ait pas, et les façons dont un auteur peut faire ça sont infinies). La série Forbidden hearts d’Alisha Rai en est un très bon exemple.
3. – Le ton. Un livre où le personnage a une voix vraiment unique, qui vous attire et est super captivante, retient toujours mon intérêt et m’entraine encore plus dans l’histoire. Haven de Rebekah Weatherspoon est formidable pour ça. Alyssa adore les personnages déterminés, aussi bien féminins que masculins. « Il y a juste quelque chose de vraiment sexy chez les personnages qui savent ce qu’ils font, et sont doués pour ça. »

Elle aime également les héros qui se soutiennent mutuellement.
« Dans une société où on attend des femmes qu’elles mettent leurs rêves de côté et assument le plus gros de la charge émotionnelle, j’aime les relations amoureuses dans lesquelles, quel que soit le conflit, le héros soutient l’héroïne. Les hommes qui le font peuvent être considérés comme « faibles » dans la société en général, alors j’aime particulièrement les livres qui renversent cette idée et se focalisent sur ce qu’est vraiment la romance : deux personnes (ou plus) qui apprennent qu’elles sont particulièrement bien assorties pour faire face ensemble à leurs difficultés personnelles et/ou sociétales. »

On peut donc trouver tout cela dans ses écrits, et les lectrices apprécient ce soutien que les personnages que le fait que les protagonistes soient sympathiques, aussi bien séparément qu’ensemble. De plus, dès ses premières publications, Alyssa pose tout de suite le ton et sa marque de fabrique, et met en scène des personnages noirs, aussi bien en historique qu’en contemporain. Elle est aujourd’hui reconnue comme une grande défenseuse d’une romance inclusive. Dans ses livres, elle exprime son désir d’un monde meilleur dans lequel il y aurait espoir, justice et égalité.

Pendant un an, l’auteure privilégiera les novellas ou histoires courtes dans des anthologies. Son premier long roman est publié en 2015 et s’intitule Radio silence, premier tome de la trilogie Off the grid. Elle se déroule dans un univers postapocalyptique dans lequel, suite à une panne d’électricité à New York, les différents héros doivent s’unir afin de survivre et trouver une solution pour sauver leurs proches et leurs amis. Elle rencontre un succès rapide et ses livres sont notamment salués par le New York Times, Entertainment Weekly, Library Journal…

En plus des personnages non caucasiens qu’elle met en scène, certains de ses livres révèlent les combats qui lui tiennent à coeur, notamment ses romances lesbiennes historique (That could be enough) et contemporaine (Once ghosted twice shy – novella faisant partie de sa série Reluctant royals). « Je suis bi, alors c’était en partie pour écrire le genre d’histoire que je veux lire, ce que j’ai fait depuis mon enfance. C’est aussi en partie juste ce que j’écris – des mondes où vivent des personnages comme moi et les gens que je connais et auxquels je tiens, et ces personnages trouvent l’amour et le bonheur. »

Elle publiera sa troisième romance lesbienne en mai 2021, How to find a princess, deuxième tome de sa nouvelle série Runaway royals. Auteur à l’honneur : Alyssa Cole L’une des étapes les plus difficiles quand elle écrit ses romans ce sont les recherches. En effet, du fait des personnages non caucasiens qu’elle met en scène dans ses histoires, il lui est très difficile de prendre du recul face aux injustices subies par cette population. D’ailleurs, écrire de la romance lui permet de laisser s’exprimer ses émotions tout en proposant une fin heureuse à ses héros.

Comme je le disais dans mon introduction, Alyssa écrit dans divers sous-genres. La seule différence concerne le style et le langage qu’elle doit adapter en fonction des époques, mais ses personnages restent les mêmes. « Quel que soit le sous-genre, j’essaie de me focaliser sur des personnages que je trouve convaincants et la romance qui fait avancer leurs histoires. »

En 2020, elle décide de se lancer dans un nouveau genre : le thriller. Quand on lui demande ce qui l’a motivée, elle dit : « J’ai tous ces différents types d’histoires que je veux raconter, et tel genre convient mieux à telle histoire particulière. »

When no one is watching est publié en septembre 2020 et traite de l’embourgeoisement de Brooklyn, un thème qui lui est également cher. « Je voulais écrire à ce sujet depuis des années, en particulier parce que l’immobilier et le fait d’être propriétaire de son logement – qui arrive à acheter et qui arrive à garder ce qu’il possède – est l’une des forces majeures dans la société américaine, et les conséquences de la manière dont ces forces sont canalisées sont souvent passées sous silence ou attribuées à d’autres causes. Partout où j’ai vécu en tant qu’adulte, j’ai vu les effets de l’embourgeoisement. L’un des premiers souvenirs de mon emménagement à Brooklyn après l’université est celui d’un homme noir sur le perron, qui tenait un enfant dans ses bras et se disputait avec son propriétaire, lui demandant où il était censé aller s’il n’avait pas les moyens de payer le loyer à cet endroit. Mes parents possèdent une maison dans laquelle ils ont mis vingt ans de leur vie, mais ils doivent la vendre à cause de l’incompréhensible augmentation des taxes de propriété. C’est donc très personnel pour moi, mais c’est aussi quelque chose d’injuste et qui me les brise en général, ce qui est souvent une raison pour que je décide d’écrire certaines choses. »

Alyssa est mariée et partage sa vie entre la Martinique et New York. Elle adore lire depuis qu’elle est petite et continue à le faire. Ses livres préférés quand elle était jeune étaient The girl with the silver eyes (non traduit) de Willo Davis Roberts et Annie on my mind (non traduit) de Nancy Garden. Elle adore Beverly Jenkins, et la série Psy-Changeling de Nalini Singh. Alyssa aime également voyager.

Elle n’hésite pas à défendre la romance en général, parce que c’est ce qu’elle écrit mais aussi pour ce que ce genre lui apporte à titre personnel : « Je pense que les romances sont magiques. Je dois faire face à la dépression et à l’anxiété, et les livres de tous genres ont toujours été une façon de rendre
soin de moi à des moments où les choses étaient difficiles. Je ne compte pas le nombre de fois où j’étais dans une impasse, et où j’ai pris une romance parce qu’il fallait faire autre chose que regarder le plafond, et je me suis alors retrouvée à rire et pleurer, et ressentir des choses. C’est la magie de la romance : ça vous dit que peu importe à quel point vous vous sentez mal et brisé et affreux, peu importent les hauts et les bas que vous traversez dans la vie, vous méritez l’amour et l’espoir et le bonheur. Que ce ne sont pas des choses sur lesquelles vous devriez avoir à faire des compromis. Alors pourquoi j’écris de la romance ? Je crois que c’est parce que ça me fait me sentir comme une magicienne. »

En 2020, elle a également lancé l’évènement virtuel Date night en partenariat avec la librairie Loyalty Bookstore. « Ca a commencé à la suite de l’épidémie de Covid-19 de 2020, comme une façon d’avoir des moments de connexion et de joie au milieu de tout le reste. Nos « rancards » sont certains des meilleurs auteurs de romance qui existent, et nous parlons de leurs dernières parutions, d’écriture, et de divers trucs d’intello. » Mia Sosa, Sonali Dev, Beverly Jenkins ou encore Nalini Singh y ont participé.

Fabiola

Sources :

https://bookpage.com/interviews/25401-alyssa-cole-mystery-suspense#.YBcrk5eg9PZ

https://www.shondaland.com/inspire/books/a13511524/alyssa-cole-romance-interview/

https://www.themarysue.com/interview-romance-author-alyssa-cole/

https://en.wikipedia.org/wiki/Alyssa_Cole

https://bookpage.com/interviews/21188-alyssa-cole-romance#.YBcrYpeg9PZ

https://bookriot.com/romance-princess-theory/

https://ew.com/books/books-of-my-life-alyssa-cole/

 

La page de l'auteure http://www.lesromantiques.com/index.php?u=3222/Alyssa-Cole

 

GROS PLAN Un amour interdit (An extraordinary union)
J’ai lu – Aventures et Passions | 22/08/2018
Loyal league, tome 1

En pleine guerre de Sécession, Ellen Burns, une affranchie qui sert la cause abolitionniste, accepte une mission d’infiltration dans le Sud. Se faisant passer pour une esclave, elle est envoyée dans une riche plantation de Virginie où elle rencontre Malcolm McCall. Bien qu’il porte l’uniforme confédéré tant haï, Ellen se rend vite compte qu’ils sont du même bord. Peu à peu l’étau se resserre sur les deux espions que lie un amour passionné et interdit. Coûte que coûte, ils défendront leur idéal, même s’ils doivent se séparer à jamais.

Il s’agit du premier tome de la seconde série écrite par l’auteure.
L’auteure au sujet du livre : An extraordinary union est la première romance historique que j’aie terminée ! J’ai toujours été une passionnée d’histoire et j’adorais la romance historique, mais je résistais à l’envie d’écrire des historiques parce que je n’avais pas envie de traiter tous les aspects horribles du passé de l’Amérique (c’est typiquement américain, vous l’aurez peutêtre remarqué). Mais j’ai commencé à lire régulièrement le blog de Ta-Nehisi Coates sur The Atlantic et je suis tombée amoureuse de l’histoire américaine, surtout les événements méconnus. A la mi-2013 j’ai eu l’idée de faire une anthologie de romances se déroulant pendant la Guerre d’indépendance et mettant en scène des américains dont les vies sont souvent passées sous silence dans les livres d’histoire, qui est finalement devenue For love and liberty (et ma novella Be not afraid). J’ai aussi écrit les deux premiers chapitres d’une histoire qui allait devenir un jour ma romance sur les activistes des Droits civiques, Let it shine. Mais je n’avais définitivement aucune intention d’utiliser la période de la Guerre de sécession… c’est alors qu’est arrivé le NaNoWriMo 2013. Le mois précédent j’ai vu un appel à texte pour une novella historique, et l’Amérique des années 60, l’époque où se déroulait Let it shine, était trop tardive pour que je puisse l’utiliser. C’est alors que je me suis souvenue de Mary Bowser, l’espionne de la Guerre de sécession qui m’a inspiré le personnage d’Elle, et « définitivement aucune intention » a semblé une déclaration un peu hâtive. Ce fut le point de départ de l’histoire d’Elle et Malcolm.

L’avis de Mégane : Un livre que j’ai apprécié, Ellen est un personnage haut en couleurs, têtue, intelligente, courageuse, forte et prête à tout pour soutenir la cause des noirs. Malcom est Malcom, tantôt intrigué par cette esclave, tantôt désolé pour elle, il risque énormément. Leur amour est une belle histoire, et leur envie de défendre les esclaves, quoi qu’il puisse leur en coûter, est merveilleuse. Un livre avec lequel j’ai passé un bon moment.

 

GROS PLAN Vous avez un email (A princess in theory)
J’ai lu | 20/01/2021
Reluctant royals, tome 1

Entre ses études scientifiques, son boulot de serveuse et son travail d’assistante en laboratoire, Naledi n’a pas le temps pour les affaires de coeur. Quant à répondre à la multitude d’e-mails qui prétendent qu’elle est fiancée depuis l’enfance à un prince africain... la blague ! A coup sûr, il s’agit de l’arnaque du siècle. Orpheline, Naledi a grandi en foyers d’accueil et a appris très tôt que, à part sur elle-même, elle ne pouvait compter sur rien ni personne. Alors ce ne sont sûrement pas ces messages ridicules qui la convaincront du contraire. Un jour, un nouveau serveur est embauché et devient son collègue et ami. Mais Naledi ignore que Jamal, sous une fausse identité, est en réalité ledit fiancé africain...

Ce roman est le premier tome de la troisième série écrite par l’auteure.
L’auteure au sujet du livre : Quand j’ai commencé mes recherches, j’ai réalisé qu’il y avait de nos jours bien plus de membres de familles royales et aristocratiques que je ne l’imaginais ! Aussi ces titres que nous associons en général à la romance historique, et dans certains cas le pouvoir qui va avec, sont-ils encore d’actualité. Mais à notre époque les monarchies ne sont pas toujours une forme de pouvoir absolu et les aristocrates ne sont ni aussi riches ni aussi puissants que les patrons de la Hightech. Ou si une monarchie a un pouvoir absolu, elle ne l’utilise pas toujours d’une façon qui ne cause aucun dommage à son peuple (ce qui peut être dit de presque toutes les formes existantes de gouvernement).
Les membres de familles royales sont souvent traités comme les stars d’Hollywood, ce sont des célébrités qui possèdent un prestige et suscitent une vraie fascination auprès du public, qui va au-delà de celle des acteurs - la plupart d’entre nous ont grandi en lisant des contes de fées et en regardant les mêmes dessins animés de Walt Disney. Mais ils naissent ou se marient dans ce cercle, et ont un autre genre de capital politique et de pouvoir. J’ai essayé de réfléchir à la façon dont internet, les réseaux sociaux, la globalisation et les événements actuels affecteraient un membre d’une famille royale, et comment, d’une certaine façon, c’est un travail, et un travail dont on ne peut pas vraiment démissionner. Je pense que j’essayais de combiner les aspects de fantasme fabuleux de la romance et le fait qu’il semble bien que ce soit terrible d’être ainsi sous le feu des projecteurs et d’avoir des responsabilités inimaginables.
Quant au fait d’avoir créé Thesolo plutôt que de situer l’histoire dans un pays réel : lorsque j’ai eu l’idée de A princess in theory, j’imaginais écrire une romance courte et amusante, surtout axée sur la comédie romantique. En fait le livre ne s’est pas du tout révélé court, mais j’ai gardé le « pays imaginaire » qu’on trouve dans beaucoup de romances Harlequin. Dans chaque tome je voulais créer un endroit fictionnel qui pourrait exister, mais sert de couche supplémentaire de fantasme. A duke by default, le deuxième tome de la série, se déroule en Ecosse, dans un coin qui n’existe pas en réalité mais joue un rôle important. Créer des pays de fiction est amusant, et ça aide à éviter l’appropriation ou la mauvaise représentation du pays de quelqu’un d’autre. Et aussi quand on pense à The princess diary (Journal de Mia, princesse malgré elle de Meg Cabot) ou Coming to America (Un prince à New York avec Eddy Murphy) qui ont tous deux été des influences pour ce livre, vous avez respectivement Genovia et Zamunda. Thesolo rejoint les rangs prestigieux des faux royaumes de rom-com !

L’avis de Pirouette : «Vous avez un e-mail» est un titre sympa et évocateur pour ce livre que j’ai lu en version originale.
En effet, il s’agit d’un roman contemporain avec une héroïne scientifique et moderne, mais un peu perdue, obsédée par son travail et par les données. Je l’ai ouvert au début de la pandémie parce que j’ai vu que Naledi est épidémiologiste, et je ne l’ai pas regretté ! L’idée d’un véritable prince africain qui essaie de la contacter est drôle, étant donné les mails spams que nous pouvons recevoir.
Ce roman flirte avec de multiples genres. Il y a un ton de conte de fées par moments. Naledi est un peu geek et apprend à vivre autrement, les relations entre femmes, le réseau d’amies qu’elle se construit tout au long du roman sont très intéressants. Une femme très isolée qui apprend à faire confiance aux autres. Thabiso se déguise pour connaître un monde très différent du sien, et en plus il y a le royaume de Thesolo, dont il est le futur souverain, royaume inventé et un peu fantastique. L’histoire sonne aussi un peu comme un roman historique transposé à New York... mais avec un ton résolument moderne et sexy ! Je pense donc qu’il peut plaire aux fans de tous ces genres. Il est drôle, chaud et captivant.
Il s’agit du premier roman dans une série très agréable et amusante, qui a connu un succès fou aux Etats-Unis lors de sa parution. C’est dommage qu’il coûte aussi cher en France parce que les lecteurs français adoreront aussi.


Commentaires

Cet article n'a aucun commentaire, ajoutez le vôtre !

Prénom ou pseudo * :
(Gardez toujours le même pseudo. Les lectrices qui partagent vos goûts pourront ainsi suivre vos commentaires.)
Email :
(Votre email ne sera pas affiché sur le site. Il nous permettra simplement de vous envoyer un petit mot de remerciement.)
Commentaire :
Signature :
 

* : champ obligatoire

Les commentaires sont temporairement désactivés

Les Romantiques sur Twitter  Les Romantiques sur Facebook  Rechercher un livre

 

 

 

 

© Copyright 2012 Les Romantiques
Webdesign Priscilla Saule