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La chronique des Bridgerton, une série évènement

Agnès - 28/01/2021

Ce fut la très bonne surprise de Noël, et peut-être la meilleure de l’année 2020… après plusieurs adaptations de séries de romance pas forcément convaincantes, La chronique des Bridgerton a frappé un grand coup et fait un démarrage canon sur Netflix. Les articles se multiplient au sujet de tout et de rien : des acteurs, des costumes, des futures intrigues. Mais surtout, et c’est une bonne nouvelle à l’ère des réseaux sociaux : la série fait le BUZZ.

Je passe rapidement sur la « scène de viol ». Je mets entre guillemets, parce que lorsque j’ai lu ce titre je me suis demandé : « Hein ? QUELLE scène de viol ??? ». Certes il y a des scènes de sexe assez explicites et la série utilise la nudité d’une façon selon moi exagérée et à la limite gênante, mais c’est à la mode en ce moment. Si, si, pensez par exemple au film « 365 jours » qui a fait très fort dans le genre. Et la série « Tiny pretty things » n’est pas en reste non plus. Mais un viol ? D’où est-ce que ça sortait ?

Alors je rassure les âmes sensibles : je ne pense pas que vous serez choquées non plus. Cette scène pose certes la question du consentement, mais lorsqu’on parle d’une jeune fille qui est totalement, et quand je dis totalement c’est TOTALEMENT, ignorante des choses du sexe, au point que ça la place dans une position d’infériorité vis-à-vis de son époux qui en profite d’ailleurs pour la manipuler et lui mentir, je pense qu’on peut éviter de parler de viol. Un article d’Allociné prétend que « Le Duc lui-même ne donne pas l’impression d’en avoir des séquelles, ce qui laisserait penser que cet acte était sans gravité. » Excusez-moi mais vous avez vu la série ? Suite à cette scène le Duc est furax contre Daphné, au point de décider qu’ils vivront désormais séparés. Donc non, la série ne laisse pas penser que c’est un acte sans gravité.

Le second buzz concerne bien sûr la question raciale. Et là on entre dans un sujet beaucoup plus complexe et épineux. Pour celles qui reviendraient d’un voyage en antarctique et ne le sauraient pas encore : le choix a été fait d’inclure au casting un grand nombre d’acteurs noirs, parmi lesquels Regé-Jean Page dans le rôle du héros, Simon Basset duc d’Hastings. Un choix surprenant pour une histoire qui se déroule à l’époque de la Régence anglaise, où la bonne société devait quand même être un peu plus blanche que blanche. Et là c’est la foire aux questions !

Faut-il en parler ou pas ?
Dans une interview du 8 janvier pour 20 minutes, Omar Sy répond à cette question concernant la diversité dans les productions françaises : « Il ne faut plus que cela soit un sujet. La meilleure façon de le dépasser c’est de parler d’autre chose. »

Je suis d’accord mais je dirais plutôt que ça ne DEVRAIT plus être un sujet. Et à court terme j’espère bien en effet que ce ne sera plus un sujet. Mais quand une chose suscite autant de commentaires, le fait est que c’est encore un sujet… pour le moment.

Honnêtement j’ai été la première surprise en voyant les photos du casting il y a quelques mois. Des acteurs noirs ? Mais comment la série allait-elle amener ça ? Pourtant j’aurais dû faire confiance à Shonda Rhimes, qui est une pionnière de la diversité dans les séries américaines. Je ne traiterai pas la question « Faut-il plus de diversité et d’inclusivité dans les oeuvres de fiction ? » Je vous renvoie au dossier sur la diversité dans la romance du webzine d’octobre 2019. (http://www.lesromantiques.com/Webzine/Webzineoct2019.pdf) Ma réponse est oui, la fiction ne peut continuer  indéfiniment à faire comme si la grande majorité de lapopulation mondiale n’existait pas et que l’univers était rempli de clones de Ken et Barbie. Question suivante.

Fallait-il expliquer la présence de personnages noirs dans la série ?
Dans les premiers épisodes, j’ai pensé que le choix qui avait été fait était celui du « colorblind ». Autrement dit ne prêter aucune attention à la couleur de peau ni à l’origine ethnique des acteurs. Après tout, pendant des années ça n’a choqué personne que Madame Butterfly, Othello ou le Cheik Ahmed Ben Hassan soient interprétés par des blancs, pourquoi est-ce que ce serait un problème que des artistocrates anglais du début du XIXème siècle le soient par des noirs ?

Mais vers le milieu de la série les scénaristes ont choisi de nous donner une explication par la bouche de Lady Danbury : « Nous étions deux sociétés divisées, séparées par la couleur jusqu’à ce qu’un roi tombe amoureux de l’une d’entre nous. L’amour, votre Grâce… peut soulever des montagnes. » En effet, la Reine Charlotte est interprétée par une actrice noire. Et selon certains historiens il se pourrait fort bien qu’elle ait en effet eu du sang noir dans les veines, puisqu’elle est décrite par plusieurs contemporains comme une mulâtresse au nez épaté et aux lèvres épaisses.

A partir de là le choix du « Et si… » a été fait : Et si la reine Charlotte était noire et avait introduit d’autres personnes noires dans la bonne société anglaise ? Personnellement j’ai trouvé que c’était super intelligent et intéressant. D’une part parce que nous ne sommes pas dans une adaptation de Jane Austen ou de William Thackeray, mais d’une romance du XXème siècle de Julia Quinn, qui est par essence une interprétation fantasmée de l’Histoire. Dans ce cadre jouer avec le contexte historique, qui n’est qu’un décor plus ou moins fidèle, est tout à fait légitime. D’autre part parce que cette explication permettait de présenter une société multiraciale apaisée, où les questions de racisme n’avaient pas besoin d’occuper une place centrale. Ce qui nous amène à la question suivante.

Fallait-il plus évoquer les problèmes de racisme ?
Un article paru sur le site Refinery29.com, dont les auteures sont deux journalistes de couleur, Ineye Komonibo et Kathleen Newman-Bremang, fait part de leur déception à ce sujet. Malgré le fait que le créateur de la série, Chris Van Dusen, ait souhaité inclure la question du racisme dans la série, elles n’ont pas été convaincues.

Elles trouvent d’une part que les acteurs choisis sont trop clairs de peau, d’autre part que leurs personnages ne sont pas assez développés. Elles auraient préféré que le couple soit noir, plutôt qu’interracial, car selon elles les histoires d’amour entre noirs sont rarement dépeintes, ou alors de façon négative.

Et puisque le couple est interracial, elles pensent que cela aurait dû être évoqué entre eux : « Je suis dans un couple interracial. […] Si vous traitez ce sujet, vous devez inclure de vraies conversations qui auraient lieu dans un couple interracial. Vous avez de sacrées conversations, surtout au début. Vous parlez de racisme. Vous pointez les préjugés de l’autre. Aussi ça m’a ennuyée que Simon et Daphne, qui sont le couple central, parlent de leurs différences de point de vue, se battent pour trouver comment aller de l’avant dans leur vie maritale, mais que la question raciale soit complètement ignorée. »

Elles n’auraient pas souhaité que tout tourne autour du racisme, mais que la question de la race ne soit pas non plus totalement passée sous silence. Un juste milieu en quelque sorte. Peut-être sur ce point le problème vient-il du fait que les scénaristes ont tenu à rester proches de l’intrigue du livre, dans laquelle il n’était évidemment pas question de racisme puisque les personnages étaient blancs. En tant que lectrice de romance j’apprécie que, pour une fois, la série s’attache à rester fidèle aux livres, mais je comprends aussi leur point de vue : il est bizarre de jeter un pavé dans la mare sans qu’au final il n’y ait la moindre vaguelette à la surface de l’eau.

Le troisième buzz concerne les moyens énormes déployés par la production, notamment en ce qui concerne les décors et costumes. De nombreux articles
ont fleuri à ce sujet. Pas moins de 7500 vêtements et accessoires ont été réalisés par une équipe de 230 personnes. Tout a été créé et fabriqué sur mesure, alors qu’habituellement les costumes « d’époque » sont loués. Il s’agit d’une des marques de fabrique de Shonda Rhimes, pour qui l’identité visuelle d’une série est très importante.

Le choix a été fait de conserver les silhouettes d’époque, par exemple les robes taille-haute pour les femmes, à l’exception de la reine Charlotte dont les
tenues s’inspirent plus du XVIIIème siècle que du début XIXème. Par contre les tissus employés n’ont rien à voir avec ce qui se portait sous la Régence,
à savoir des cotons assez épais. La décision a été prise de les remplacer par des matières beaucoup plus luxueuses et chatoyantes, avec énormément de décorations : broderies, perles, fleurs en tissu.

Les couleurs aussi ont été soigneusement étudiées : « Les Bridgerton sont très aristocratiques, de la plus haute société, et ils sont impeccablement beaux et poudrés, leurs couleurs sont riches mais simples » explique Ellen Mirojnick, créatrice des costumes. « Alors que les Featherington sont des nouveaux riches, qui n’ont pas reçu l’éducation de la haute aristocratie mais veulent y être acceptés. Ils portent des couleurs acidulées et vives pour l’époque. » D’autres petits détails ont aussi leur importance symbolique, comme les abeilles qui apparaissent sur certains cols de la famille Bridgerton, alors que pour les Featherington il y aura plutôt des motifs floraux et des papillons.

Bien sûr des voix se sont élevées pour dire que ce n’était pas fidèle d’un point de vue historique. Ce à quoi Ellen Mirojnick répond : « Si vous pouviez plonger dans une histoire d’amour romantique comme si vous en étiez le lecteur, allez-vous être historien, ou allez-vous utiliser votre imagination ? C’est le point de vue que nous avons choisi d’adopter, à savoir que nous ne sommes pas des historiens. » Pour ma part, je trouve que c’est très réussi. Ça reflète bien le côté fantasme historique de la romance, et ça offre une expérience visuelle des plus satisfaisantes.

Quand on demande à Julia Quinn comment elle a réagi lorsqu’elle a été contactée par Shonda Rhimes, elle répond : « Vraiment, je n’aurais jamais pensé que ça pouvait m’arriver. Pas plus qu’à n’importe qui d’autre, parce que personne n’adaptait de romance, historique ou même contemporaine, à part Hallmark. Si quelqu’un faisait une série historique, il voulait adapter une nouvelle fois Jane Austen ou l’une des soeurs Brontë. Elles sont toutes formidables, mais les romances historiques écrites de nos jours sont un peu différentes. Et elles représentent un marché énorme. Je ne pense pas qu’il soit surprenant que la première personne à le faire soit Shonda Rhimes. »

Ce qui nous amène à une question intéressante : l’énorme succès de la série va-t-il enfin faire sortir la romance du placard où elle est enfermée depuis maintenant plus de cinquante ans ? Il est quand même stupéfiant qu’un genre littéraire né dans les années 70, qui compte des milliers d’auteurs et des millions de lectrices, soit totalement ignoré depuis tant d’années. Que tout le monde fasse comme s’il n’existait pas, où était tellement insignifiant qu’il n’y avait aucune nécessité de s’y intéresser ou d’en parler autrement que sur le ton de la dérision. Le succès de la série permettra-t-il enfin de remettre un peu les pendules à l’heure et de montrer que OUI, la romance EXISTE et que c’est même un genre littéraire important ? Un éléphant dans la pièce : même si on refuse d’en parler, il est bel est bien là.

On sait déjà que les Bridgerton reviendront pour une saison 2, qui sera l’adaptation de l’histoire d’Anthony. Mais peut-être que leur succès donnera l’idée à quelques producteurs et showrunners de se pencher sur la multitude d’autres auteurs et séries de romance. Dans une interview au New York times, Shonda Rhimes s’étonne d’ailleurs : « Il est fascinant à mes yeux que personne n’ait jamais fait ça auparavant. Les romances se prêtent vraiment au genre télévisé. Elles sont visuelles, bien rythmées, et ont de formidables intrigues. » Affaire à suivre.

On constate également que les gens qui ont aimé la première saison ont parfois envie de lire les livres de Julia Quinn. J’ai lu a d’ailleurs bien anticipé la chose en rééditant un volume double incluant les tomes 1 et 2 en janvier. Les tomes 3 et 4 seront publiés en mars. On peut espérer que l’engouement pour la série attire de nouveaux lecteurs qui découvriront que la romance a quelque chose à leur offrir. Dans cet esprit, nous proposons en Gros plan à la suite de ce dossier un ensemble d’auteurs et de livres à explorer, pour ceux et celles qui découvriraient la romance grâce aux Bridgerton.

Pour toutes ces raisons, La chronique des Bridgerton mérite bien à mes yeux l’engouement qu’elle est en train de susciter, et qui je l’espère ne sera pas un feu de paille mais le début d’une nouvelle ère de respect pour la romance. Quand on aime les happy ends, on a toujours envie de rêver…

 

L’AViS d’une fan de romance

J’attendais avec énormément d’impatience l’adaptation de la série « La chronique des Bridgerton », il faut reconnaître que tous les trailers m’ont mis l’eau à la bouche. Inutile de dire que ça valait le coup d’attendre. Cette saison 1 peut désarçonner pour ceux qui ont lu les livres, c’est d’un esprit très ouvert ne les ayant pas lus) que j’ai dévoré ces huit épisodes. Shonda Rhimes et Chris Van Dusen ont voulu attirer un public jeune, d’où pas mal de libertés avec des personnages noirs ou métissés, des scènes de sexe explicites et très nombreuses qui font penser aux codes de certaines séries américaines.

Personnellement, les personnages qui m’ont le plus marquée sont Eloïse Bridgerton, féministe avant l’heure qui cherche tout simplement à être libre, débarrassée des convenances de la bonne société auxquelles elle doit se soumettre. Elle va tenter de démasquer Lady Whistledown qui publie une chronique mondaine révélant au vu et au su de tous les rumeurs, scandales et le plus petit évènement de la haute société. Pénélope Featherington, la meilleure amie d’Eloïse, est aussi un personnage marquant et important. Secrètement amoureuse de Colin, l’un des frères Bridgerton, elle doit composer avec une mère qui pour la marier est prête à tout, allant jusqu’à choisir les tenues qu’elle doit porter. C’est une personne que les spectateurs remarquent mais que la société feint de ne pas voir, invisible par excellence mais qui cache un secret insoupçonné.

Autant le dire, j’ai eu du mal avec Daphné, pas avec l’actrice qui l’incarne mais avec son personnage. De prime abord, je l’ai trouvée fade et naïve, elle ne dégageait rien de particulier, du moins pour un personnage principal. C’est au fil des épisodes qu’on apprécie le couple qu’elle forme avec Simon, même si je trouve leur relation plutôt sage, mais peut-être était-ce dû aux convenances de leurs rangs. Il faut reconnaître qu’ils forment un beau couple et Regé-Jean Page incarne un duc très sexy, qui attire le regard et donne un gros plus. Par contre le gros bémol qui m’a gâché la fin de la saison, c’est leurs multiples scènes de sexe. Je n’ai rien contre, quand elles sont justifiées, mais là il y en avait trop, trop dans un seul épisode, trop jusqu’au dernier épisode et elles n’apportaient rien, à part nous détacher de l’histoire car trop présentes. Du coup j’avais l’impression que l’histoire des Bridgerton n’avançait pas. De même, j’aurais apprécié la mention des dates dans le dernier épisode, savoir en quelle année par exemple la saison 1 se termine, et également que l’identité de Lady Whistledown reste secrète plus longtemps. Je reconnais que ça faisait une belle fin de par la manière dont on voit qui se dissimule derrière notre mystérieuse chroniqueuse.

Le personnage d’Anthony ne m’a pas intéressée plus que ça. J’espère que dans la saison 2 son histoire sera plus aventureuse, plus tumultueuse, plus addictive que celle de Daphné et Simon. Shonda Rhimes a su me convaincre de par les partis pris par rapport à l’époque, aux livres et aux musiques instrumentales modernes qui passent très bien malgré la différence d’époque. Les costumes sont sublimes et correspondent en tout point à ceux de l’époque. Les paysages sont magnifiques et se fondent parfaitement dans l’histoire. Inutile de dire que j’espère une sortie DVD et une saison 2. Au vu du succès de la série, je pense qu’on n’a pas de soucis à se faire. Personnellement, je suis presque ravie de ne pas avoir lu les livres avant de voir la série, car j’aurais pu avoir du mal à ne pas faire de comparaison, mais il me tarde le 6 janvier pour démarrer ma lecture avec leur réédition. Il paraît que les tomes 3 et 5 sont excellents, donc j’espère que la série TV continuera jusqu’au dernier Bridgerton.

 

L’AViS de non fans de romance

-Perplexe de par les commentaires lus çà et là sur le net avant sa sortie : un mélange de Downton Abbey et Gossip girl ? J’ai tout de suite compris d’où venait la similitude avec GG : la narration ! Le procédé me paraît éculé et pas forcément hyper amené, mais occasionne des scènes plutôt marrantes, voire intéressantes. Le côté GG vient aussi, j’imagine, du fait que la fiction se concentre vraiment sur la romance, dans une ambiance un peu soap. Le rapport avec Downton Abbey ? Mis à part la vie aristocratique et forcément un peu de drama, on est assez loin de DA. Et DA ne sera probablement pas égalée par les Bridgerton ! Dans DA, le drama était inséré dans un contexte intéressant, avec des personnages finalement assez nuancés, et un cadre global intéressant (historique, social, une époque charnière...) Ici, le contexte global n’est pas tellement important, c’est du pur drama. Et on ne fait pas dans la subtilité ! Le ton est un peu «criard», ça va vite, ça parle, ça fait des mouvements d’yeux... Bon ça va en s’améliorant, et c’est un divertissement très efficace, ça donne envie de continuer à regarder ! Et les personnages principaux s’approfondissant, ça prend un meilleur chemin, mais les personnages secondaires sont assez clichés. Mention spéciale aux costumes superbes, quoique manquant un peu de finesse (ah, les robes de DA...).

-J’ai commencé La chronique des Bridgerton et c’est pas mal. J’ai zappé les scènes de sexe car je les ai trouvées totalement inutiles. La psychologie des personnages est un peu plate. Les costumes et les décors sont de toute beauté. J’ai bien aimé la série dans sa globalité. Les histoires secondaires sont assez bien menées, sauf celle d’Anthony, alors lui franchement il est d’une platitude affligeante.

-Je suis très mitigée sur La chronique des Bridgerton. Ça se laisse regarder, même si je ne comprends pas bien cette nécessité de se racheter du passé en réécrivant l’histoire de manière inclusive et en le justifiant. Je trouve que ça revient finalement à nier l’oppression. Il y a pas mal de propos un peu féministes, mais on reste dans le schéma de la gentille fille qui va tomber amoureuse de l’homme blessé, qui la malmène, mais qu’elle va quand même s’acharner à sauver. Si je comprends l’idée de continuité par rapport à la tradition du roman romantique à la Jane Austen, pourquoi ne pas faire évoluer les scénarios écrits aujourd’hui. En tout cas, dans une série finalement premier degré.

 

Agnès

Sources :
https://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18695697.html
https://www.20minutes.fr/arts-stars/serie/2946503-20210108-lupin-annonciateur-changement-va-bon-sens-estime-omar-sy
https://www.madmoizelle.com/chronique-bridgerton-reine-charlotte-1071304
https://www.nytimes.com/2020/12/18/arts/television/bridgerton-netflix-shonda-rhimes.html?smtyp=-cur&smid=tw-nytimes
https://www.refinery29.com/en-us/2020/12/10240235/bridgerton-review-blackness-representation
https://www.lofficielusa.com/film-tv/bridgerton-netflix-costume-designer-ellen-mirojnick-interview
https://www.bfmtv.com/people/series/bridgerton-les-costumes-de-la-serie-sont-ils-fideles-aux-tenues-de-l-epoque_AN-202101060116.html
https://ew.com/tv/julia-quinn-reflects-seeing-books-come-life-bridgerton/

 

GROS PLAN Que lire après Les Bridgerton de Julia Quinn ? Les lectrices de romances vous conseillent !


Si vous souhaitez rester dans la période historique de la Régence, nous vous proposons les titres suivants.

-Série Coup de foudre de Jacquie d’Alessandro
Vision d’amour (Whirlwind wedding) 08/01/2020
Le bijou mystérieux (Whirlwind affair) 05/02/2020

-Mary Balogh La perle cachée (The secret pearl) 17/10/2018
-Mary Balogh Le Noël de toutes les promesses (A Christmas promise) 05/12/2018

-Série Les nuits de Douvres de Kelly Bowen
Une valse à deux temps (A duke in the night) 04/03/2020
Rose et le revenant (Last night with the earl) 01/07/2020
L’amour en contrebande (A rogue by night) 02/12/2020

-Série Girl meets Duke de Tessa Dare
Un drôle de mariage (The duchess deal) 06/06/2018
Le jeu de la préceptrice (The governess game) 02/04/2019
Une délicieuse voisine (The wallflower wager) 01/04/2020

-Série Les Knight de Gaelen Foley
Douces voluptés (The duke) 04/03/2020
Coeur de pierre, coeur de braise (Lord of fire) 03/06/2020 

-Série Les survivants de Shana Galen
La belle et le géant (Third son’s a charm) 06/03/2019
La plus agaçante des femmes (No earls allowed) 05/06/2019
Insensible à ses charmes (An affair with a spare) 23/07/2019
Bas les masques (Unmask me if you can) 05/02/2020

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-Série Gamblers de Lisa Kleypas
Par pure provocation (Then came you) 26/10/2016
La loterie de l’amour (Dreaming of you) 23/11/2016

-Série La famille St. John de Sarah MacLean
L’amour en 9 défis (Nine rules to break when romancing a rake) 24/08/2016
L’amour en 10 leçons (Ten ways to be adored when landing a lord) 07/09/2016
L’amour en 11 scandales (Eleven scandals to start to win a duke’s heart) 26/10/2016

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Si vous avez envie d’explorer d’autres périodes historiques, il se trouve que J’ai lu publie depuis quelques années les rééditions des meilleures romances historiques sous le label « La bibliothèque idéale ». Nous vous conseillons de commencer par là. Vous aurez un aperçu des plus grandes auteures de romance historique et pourrez ensuite vous plonger dans la bibliographie de celles qui vous auront accroché.

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-Shirlee Busbee La rose d’espagne (This Spanish rose) 03/04/2019

-Jude Deveraux Vint un chevalier (A knight in shining armor) 01/05/2019

-Virginia Henley Mariage à l’essai (Tempted) 06/03/2019
-Virginia Henley Une femme de passions (A woman of passion) 04/12/2019
-Virginia Henley Un amant de rêve (Dream lover) 01/07/2020

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-Johanna Lindsey Les feux du désir (Secret fire) 02/10/2019

-Judith McNaught L’amant de l’ombre (Once and always) 06/02/2019
-Judith McNaught Les machinations du destin (Something wonderful) 05/02/2020
-Judith McNaught Compromise (Almost heaven) 02/09/2020
-Judith McNaught Garçon manqué (Until you) 06/11/2019

-Karen Robards Esclave de personne (Nobody’s angel) 03/07/2019
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