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La convention des RWA, les retours de l'équipe

Les Romantiques - 29/09/2019

Pour le numéro de rentrée, impossible de passer à côté de cet évènement exceptionnel auquel nous avons pu assister pour la première fois, et dont nous vous parlons depuis quelques mois maintenant. Il est temps à présent de faire le bilan en laissant la parole à chacune, sauf Melann qui n’y a assisté que le samedi.

Belette
Depuis que j’ai entendu parler pour la toute première fois de la conférence des RWA, je rêvais d’y assister au moins une fois. C’est maintenant chose faite, et je peux vous  dire que je ne suis absolument pas revenue déçue ! Touta commencé il y a trois ans quand, en regardant les lieux des futures éditions, j’ai découvert que celle de 2019 se déroulerait à New York. Mon coeur a fait un bond : depuis le temps que je voulais justement découvrir cette ville ! Après négociation avec Mr Belette, si j’arrivais à économiser suffisamment, je serais bien du voyage !

Et trois ans après me voici donc revenue, des étoiles plein les yeux ! Sur les quatre jours de conférence, j’en ai fait trois et j’en suis sortie positivement éreintée ! Grâce à l’application et au site des RWA, j’avais pu préparer le programme des dédicaces et des ateliers auxquels je souhaitais assister. Je suis donc allée aux séances de questions/réponses de Madeline Hunter, Julia Quinn et JR Ward. J’ai assisté également à presque toutes les séances de dédicaces des différentes maisons d’édition (Harlequin donnait même des tablettes de chocolat !) et je suis repartie avec un nombre conséquent de livres !

Etaient inclus dans ces journées un déjeuner lors de la remise des « Golden Heart », qui récompensent les romances non encore publiées (cérémonie présidée par Darynda Jones !), et bien sûr le clou de la conférence : la remise des Rita Awards ! Tenue de soirée pour tout le groupe (nous étions superbes ! A), j’étais à la fois excitée comme une puce et émue de pouvoir assister à ce grand moment. J’en suis repartie tout émue (et l’estomac dans les talons !) et j’espère pouvoir revivre un moment pareil.

Le samedi, dernier jour, était consacré en partie aux blogueurs (le matin) et à la grande séance de dédicaces (les livres y sont vendus et les bénéfices vont à une ou plusieurs oeuvres de charité qui luttent contre l’illettrisme). Après un petit déjeuner en compagnie d’Alyssa Cole (et encoooore des livres offerts !) la matinée est passée à toute allure. Un dernier tour à la salle des « goodies » (où j’ai dû me réfréner !) et en route pour la salle d’attente de la dédicace. Mon objectif était clair et simple : JR WARD !!! Une fois dans la salle je me suis ruée vers sa file d’attente afin d’avoir mon précieux ! Pour l’avoir vue la veille à sa séance de questions/réponses, je savais qu’elle était naturelle et terriblement drôle. Elle était encore tout émue de son prix (Rita de la meilleure Romance Paranormale) et se prêtait avec le sourire aux signatures et photos. Quel plaisir de pouvoir croiser à chaque bout de couloir des auteurs que nous lisons, pour certaines, depuis des années !

Alors oui ma seule déception fut que les « grandes » (Nora Roberts, SEP, Jayne Ann Krentz et Lisa Kleypas) étaient absentes cette année, mais j’ai tout de même passé quatre jours formidables, entourée d’amies qui plus est ! Je continue de guetter les lieux des prochaines conférences et, qui sait, peut-être aurai-je droit à un second round !

Fabiola
Avec ce voyage, j’ai réalisé deux de mes plus grands rêves : aller aux Etats-Unis ET à la conférence des RWA. Bien sûr, cette dernière est un rêve plus récent, mais pouvoir combiner les deux en un, je n’y aurais jamais cru. J’étais venue en famille, aussi je n’ai pas passé quatre jours entiers à l’hôtel Marriott, mais seulement deux jours.

Je suis allée le mercredi matin récupérer mon pass et faire un repérage des lieux. L’événement se déroulait sur quatre étages. L’enregistrement se faisait au 6ème et la fameuse goodies room se trouvait au 4ème. La première auteure que j’ai retrouvée juste devant l’hôtel à mon arrivée était Charis Michaels, puis j’ai vu Teri Wilson dans le hall d’entrée.

Et c’est cela les RWA : tomber sur des auteures tout au long de l’évènement, comme au Festival du Roman Féminin. Mais contrairement au Festival, dont l’objectif principal est de réunir auteures et lectrices, la convention des RWA s’adresse principalement aux auteurs et aspirants auteurs. Les conférences sont entièrement dédiées au métier d’écrivain. Toutefois l’association n’oublie pas les lectrices dans sa programmation, et c’est pour cela que pendant la convention il y a des séances de dédicaces où chaque éditeur réunit ses auteurs en un même lieu afin d’offrir leurs livres (en général des parutions récentes, parfois des avant-premières) et de les dédicacer. Il y a également les séances de « Ask me anything », qui correspondent aux questions/réponses.

L’autre session non consacrée aux auteures est le blogger’s day qui, comme son nom l’indique, s’adresse uniquement aux blogueurs. Cette année elle avait lieu le samedi toute la matinée, avec une introduction d’Alyssa Cole puis des conférences pour les blogueurs.
Mon programme était assez simple : assister à toutes les sessions où des auteures que je rêvais de rencontrer allaient intervenir.  C’est ainsi que j’ai pu voir Madeline Hunter, JR Ward, Eva Leigh/Zoe Archer, Julia Quinn, Anne Gracie et Jaci Burton. J’ai revu Lauren Layne, une auteure dont j’ai découvert les livres cette année et que j’aime beaucoup, ainsi que Scarlett Cole, Sabrina Jeffries, Nancy Herkness, Jane Porter, Meg Cabot/Patricia Cabot et Sarah Morgan.

Au détour des couloirs, j’ai pu rencontrer Kelly Bowen, Tif Marcelo, Laura Kaye et bien sûr May McGoldrick. C’est certain, j’en ai oublié, mais il s’est passé un petit moment déjà. LOL Ce que je peux dire c’est que là où les RWA rejoignent l’esprit du FRF, c’est dans la disponibilité et la gentillesse des auteurs avec qui on peut discuter librement. J’ai été très agréablement surprise, notamment par JR Ward qui, malgré son succès international, est très gentille. J’ai adoré sa prestation pendant son « Ask me anything » où, effectivement, on pouvait lui poser toutes les questions qu’on voulait et elle ne mâchait pas ses mots dans ses réponses.

Parmi mes impératifs, je ne voulais pas rater deux évènements :
• le Lady Jane’s salon où j’ai revu Hope Tarr et rencontré l’une de mes auteures préférées : Brenda Jackson. Cela a été un moment magnifique que je n’oublierai pas de sitôt. Je l’ai revue pendant la grande séance de dédicaces, puis à Paris où elle a fait un passage éclair pendant ses vacances ;
• la soirée des Rita Awards. Être bien habillée pour se rendre à cette cérémonie, c’était quelque chose. Nous avons pu avoir une place assez proche du podium et j’ai été très émue par la soirée, en demi-teinte toutefois à cause du scandale qui secoue les RWA depuis l’année dernière concernant l’absence d’auteurs noirs dans les nominations. Mais c’est aussi ce qui a permis un événement historique, puisque cette année Kennedy Ryan a été la première auteure noire à recevoir un prix pour son titre autoédité Long shot dans la catégorie romance contemporaine longue. Avec Agnès et Kyryana, nous avons fini la soirée à l’after Rita où danse et champagne étaient au rendez-vous jusqu’à 23h00. Inutile de vous dire que j’étais cassée à la fin de la
soirée.
• Et parce que JR Ward était présente cette année et qu’elle signait également pendant la grande séance de dédicaces, mon aîné a pu venir acheter son livre et le lui faire dédicacer. En effet, il est super fan de sa série La confrérie de la dague noire et a été ravi de cette occasion.

Pendant la convention, j’ai également rencontré pour la première fois la blogueuse Lorelei, que je connais via Facebook depuis plusieurs années. Nous avons pu passer un moment ensemble au restaurant le lundi suivant, dans un cadre plus calme. Et puis bien sûr je n’oublie pas Olivia Rigal, la plus française des américaines, que j’ai été ravie de revoir à cette occasion. Un petit regret toutefois : l’absence de mon auteure numéro 1, Jayne Ann Krentz. Mais à côté de cela, pouvoir côtoyer ces grandes dames de la romance a été une expérience fabuleuse. Je le referai sûrement si l’occasion se présente à nouveau. En plus, nous étions six Romantiques à venir à NYC pour les RWA, et le faire ensemble a été aussi magique que de rencontrer les auteures.

 

HanaPandora
Notre voyage à New York entre Romantiques a été intense en découvertes, d’un côté du fait de la découverte de la Grosse Pomme pour la première fois dans mon cas, et de l’autre du fait que ce voyage soit couplé à la convention des RWA.

New York est une ville que j’ai toujours eu envie de visiter, moi, la vraie citadine dans l’âme… et elle ne m’a absolument pas déçue : j’ai vu de grands shows spectaculaires et millimétrés à Broadway ; fait ma newyorkaise de base en me promenant avec mon café dans les rues bondées ; ma touriste de base en visitant toutes les attractions de ma liste… Mais malgré tout je retiens aussi qu’à New York : Central Park n’est pas tout plat comme on le voit dans les films mais plutôt tortueux avec plein de bosquets cachés où il ne fait pas bon s’attarder le soir, et surtout il sent le crottin de cheval ; sortir dans sa tenue de fitness moulante est du plus grand chic ; sortir en tenue de sport avec dans une main un grand verre XXL de boisson et dans l’autre de la nourriture très sucrée et calorique n’est pas aberrant ; être en maillot de bain le weekend dans le métro est la norme puisqu’il est évident qu’on va bronzer à Coney Island…

Ce périple à New York a aussi une saveur particulière parce que la conférence des RWA s’y est déroulée. Pour toute fan de romance de longue date qui se respecte, c’est une référence, un sommet, que dis-je le summum de la consécration dans le domaine de la Romance avec un grand R. C’est un peu comme assister aux Oscars de la Romance. Avoir pu le faire restera un souvenir mémorable. Nous, les petites frenchies, avons vite été repérées par plusieurs auteurs qui se sont donné le mot. C’est comme ça que nous avons été dans des situations où on commençait à peine à se présenter à un auteur qu’il nous répondait très vite « mais oui bien sûr vous êtes les françaises » et continuait par un « j’adore votre accent !! ». Ça permettait de vite briser la glace et de remonter nos egos souvent malmenés par des professeurs d’anglais qui soupiraient de désespoir pendant notre scolarité (ne faites pas exprès de ne pas comprendre à quoi je fais allusion, ceux qui ont fait leur collège en France et essaient toujours de savoir si Kate est dans la cuisine avec son boyfriend Kevin !!!)

Bref, pour en revenir au déroulement des RWA, cet évènement est dans la pure tradition des conventions à l’américaine, qui manquent tant de notre côté de l’Atlantique et nous ont donc inspiré le Festival du Roman Féminin. Pour ceux qui me connaissent, vous savez que je suis bien plus attirée par les conférences, les ateliers sur l’écriture ou la structure d’un livre, d’un personnage ou encore le marketing et la commercialisation d’un roman… plutôt que par de simples et longues sessions de signature d’autographes.

Les RWA m’ont comblée sur ces points, puisque j’ai même fait les deux. J’ai en effet assisté à des conférences vraiment intéressantes. C’était remarquable de voir ces auteurs confirmés et autres professionnels du milieu prendre la parole sur leur métier, leur passion, et un auditoire composé en grande partie d’auteurs boire leurs paroles et tout noter avec attention. Malgré tout, si je devais garder une conférence en mémoire, c’est celle qui m’a permis de rencontrer J.R. WARD et d’assister à son show (oui, c’en est un vu sa personnalité haute en couleur et son mordant). Rien que pour ça le voyage valait largement la peine, et de surcroît je peux crâner et dire que j’ai assisté à la cérémonie des RITA AWARDS une fois dans ma vie.

 

Agnès
Alors pour moi, la convention annuelle des RWA était l’occasion d’assister à un maximum de conférences, ce que malheureusement je ne peux pas faire au Festival du Roman Féminin. Je m’étais donc concocté un planning serré, n’incluant pas la moindre pause, en me disant que j’adapterais si je commençais à saturer. Mais en fait ce ne fut pas du tout le cas, et je dois même avouer qu’heureusement il y avait quelques repas prévus, car le reste du temps je n’ai pas quitté l’hôtel Marriott, me contentant de sucer des bonbons trouvés dans la salle des goodies pour ne pas perdre de temps à manger… Vous avez dit intense ?

Le mercredi, après nous être enregistrées à la conférence, Kyryana et moi avons passé le reste de la matinée à la New York City Library, un moment hors du temps dans des salles magnifiques, comme celle des périodiques, décorée de boiseries, ou celle des cartes avec ses tables  en marqueterie. Et je rejoins les copines pour dire que c’était vraiment génial de vivre ces choses ensemble : un bonheur partagé, c’est un bonheur décuplé. Et avec Whatsapp on n’a pas forcément besoin d’être au même endroit pour échanger !

L’après-midi nous avons assisté à notre première conférence (qui durait trois heures) et même s’il était parfois un peu difficile de suivre, j’ai été absolument fascinée. Le titre était Anatomy of a scene et on rentrait directement dans le vif du sujet avec une professionnelle de la fiction, Lisa Cron, qui
décortiquait toutes les questions qu’un auteur doit se poser pour chacune des scènes d’un roman. Wahou ! La différence entre l’intrigue et l’histoire,
l’évolution des protagonistes, ce qu’ils veulent, ce qu’ils attendent, ce qui est en jeu, leurs conflits, leurs choix, leurs pensées, ce qu’ils réalisent, les conséquences pour la suite. Tout ça avec des exemples, c’était vraiment éclairant.

Les jours suivants j’ai assisté à dix-huit conférences ou discussions, il serait donc bien trop long de tout détailler, d’autant que toutes étaient intéressantes et donnaient des outils concrets pour aider les auteurs à trouver des pistes d’amélioration. J’en citerai deux qui m’ont particulièrement surprise :
• Ecrire comme une lesbienne ! En y allant je ne savais pas trop à quoi m’attendre, je l’avoue, et certainement pas à entendre quelque chose que je savais, mais que je n’avais jamais réalisé : l’équivalent du pénis chez l’homme n’est pas le vagin chez la femme, mais le clitoris. Il serait donc temps d’arrêter d’écrire des scènes où l’héroïne grimpe aux rideaux au moment de la pénétration, et de commencer à décrire la réalité : c’est par la stimulation du clitoris que la grande majorité des femmes parviennent à l’orgasme.
• Réaliser un storyboard. Quand on est un auteur débutant on se demande bien comment maîtriser la narration sur plusieurs centaines de pages, et l’outil très simple proposé par l’auteur Megan Ryder donne vraiment envie de le tester : bleu pour le héros, rose pour l’héroïne, avec des postits de forme différente pour les points clés de l’intrigue.

L’an prochain la conférence des Romance Writers of America a lieu à San Francisco : avis aux amatrices !

 

Kyryana
Il y a moins de deux mois, en juillet, j’ai eu la possibilité de participer à la conférence des RWA qui avait lieu à New York cette année. Que vous dire sinon que cela a été des vacances merveilleuses.

Les RWA, c’est un acronyme magique pour Romance Writers of America. Mais, pour moi, les RWA c’était surtout la cérémonie des Rita, un prix remis par catégorie aux auteurs. Le reste me passait très largement audessus de la tête. Et quand on a commencé à discuter d’assister à la convention de New York, mon cerveau se mettait en mode vacances. Et puis petit à petit, cela s’est concrétisé. Dans ma tête, l’idée de rencontrer des auteurs et de discuter avec eux dans un cadre moins formel a commencé à faire son chemin. Mais des problèmes techniques m’ont fait douter de ce voyage vers cette contrée des auteurs. Du coup, après réflexion, j’ai balayé tous les obstacles. Car une convention dans la ville de New York avec les copines, ça ne se refuse pas. Ni une ni deux, en route pour la Grosse Pomme (or Big Apple).

Après quelques ennuis techniques (retard d’avion, service d’immigration à mourir de lenteur...) me voici prête à affronter les RWA. Et là, c’est anglais obligatoire. Voilà les portes du paradis qui s’ouvrent. Enfin, elles se sont réellement ouvertes le jeudi car le mercredi j’ai assisté à une conférence intéressante mais difficile à suivre si vous perdiez le fil. Ce qui a été mon cas. Sinon, pouvoir croiser tous ces auteurs au détour d’un couloir ou d’un étage (car la convention avait lieu dans différentes salles sur plusieurs niveaux), à la sortie d’un atelier, c’était génial. C’est le Festival du Roman Féminin à la puissance mille (au moins). Et, le pire, c’est de ne pas se souvenir de tous les livres qu’on a pu lire et des auteures associées. Je peux vous dire que c’est compliqué. Je suis passée deux ou trois fois à côté de Thea Devine alors que j’ai lu tous ses romans traduits en français, et il m’a fallu deux jours pour m’en rendre compte. Et après je ne l’ai plus vue. Snif, snif...

Cela ne m’a pas empêchée de jouer les fans hystériques (ou presque) avec certaines auteures, et d’en retrouver d’autres que j’avais déjà vues telles que Sabrina Jeffries, Scarlett Cole ou Darynda Jones, mais aussi Katherine Garbera ou Olivia Rigal qui nous a expliqué quelques points obscurs.

La seule chose que je savais (ou que j’avais pris la peine de vérifier), c’était qu’il y avait une dédicace géante à la fin de la convention. Et lorsque j’ai découvert que les maisons d’édition organisaient des dédicaces d’une heure, mon âme de bibliophage affligée d’une collectionnite aigüe est devenue complètement dingue. Surtout que la première dédicace était celle d’Harlequin. Imaginez, pour celles qui sont venues à la RARE, une grande salle avec des rangées de tables sur lesquelles se trouvent des livres offerts et les auteures sont derrière qui attendent pour vous les dédicacer. Et cette dédicace se déroule pendant une heure. Je peux vous dire que je ne savais pas où donner de la tête.

Et ça a continué avec Avon, Kensington, Montlake… Un rêve qui serait devenu réalité (surtout pour la compagnie d’aviation car deuxième valise en soute obligatoire : c’est lourd les livres). Et en plus on vous en offre encore, pour le petit-déjeuner et la journée des blogueurs. Que demander de plus ? Faire des photos avec des auteurs. Que ce soit Marie-Jo Putney, J.R. Ward, Darynda Jones ou Sally MacKenzie, pas de souci. Sally a même dédicacé l’arrière de mon badge car j’avais oublié mon carnet à l’hôtel (Ouf, sauvée).

Un des grands moments de cette convention fut la soirée des Rita : tenue de soirée pour la plupart des participantes, avec un déroulement de la cérémonie assez formel et un rappel des différents titres ayant eu un impact important sur la Romance (je présume). Mais le meilleur moment fut l’after des Rita où on a pu se défouler sur une piste de danse pendant deux heures avant d’attaquer la dernière journée, celle des blogueurs.

Comme pour le FRF, ce fut intense, plein de surprises et de livres. Et, une fois de retour (avec un peu de repos), on en redemande. Je ne regarderai plus certains bouquins de la même façon. Pourvoir rencontrer tous ces auteurs, en devenir ou confirmés, dans un lieu dédié est juste magique. Pendant ces quelques jours j’ai totalement décroché du quotidien pour me plonger dans un de mes univers préférés : la Romance. Il manquait juste quelque chose : ma déesse n’était pas là (pour ceux qui ne le savent pas, je parle de Nalini Singh). Ça aurait été parfait. Peut-être une prochaine fois. Une chose est sûre : je participerai de nouveau à cet événement si j’en ai l’occasion, car on apprend beaucoup de choses pendant les ateliers et on se retrouve avec des auteures qui sont fans d’autres auteures. Ce dernier point vaut son pesant d’or.


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