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Old School Romance

Les Romantiques - 06/03/2019

Avec la montée en puissance de la « nouvelle » romance, on en arrive à se poser des questions sur ce que peut bien être la romance « ancienne » ou « old school ». Et avec la réédition de « Quand l’ouragan s’apaise » (The flame and the flower) de Kathleen E. Woodiwiss dans la collection « La bibliothèque idéale » de J’ai lu, le moment nous a semblé opportun pour chercher une réponse.

Le blog Silver petticoat review, fondé en 2013, parle de romance « old-fashioned » et s’est donné pour objectif de militer pour le retour de ce genre, en particulier au cinéma et à la télévision. « Nous savons que parfois le terme « old-fashioned » a une connotation négative. Les gens pensent « ampoulé », « dépassé », « ennuyeux ». Mais en réalité, est-ce que Mr Darcy est ennuyeux ? Ce que nous, nous entendons par romance « old-fashioned », c’est une intrigue qui utilise les ressorts de la romance classique pour raconter une histoire d’amour, plutôt que de se concentrer sur des tendances trop modernes qui donnent souvent des anti-romances essayant de se faire passer pour de la romance. Sans parler de cette horrible mode du antihappy end pour être « original » ou « tendance ». Vraiment NON ! Si vous n’aimez pas la romance, n’en écrivez pas ! »

Voici les points clés qui caractérisent une romance « old-fashioned » selon Silver petticoat review :
• Elle se focalise sur la connexion entre les âmes, plutôt qu’une attirance superficielle.
• L’amour plutôt que le désir. Il peut cependant y avoir de l’attirance et de la passion, mais pas sans amour.
• Elle se focalise sur l’évolution émotionnelle plutôt que sur le sexe. Le sexe n’en est pas toujours absent, mais quand il y en a il est nécessaire à l’histoire et se déroule (en général) derrière les portes closes, il est suggéré ou arrive après la fin de l’histoire ou de la scène. Si une scène de sexe devient cependant nécessaire à l’histoire, idéalement elle n’est pas trop graphique. Et ne devrait pas être pornographique (même soft) par nature.
• Une rencontre des esprits.
• Le couple romantique se compose souvent d’âmes soeurs.
• Les deux personnages peuvent être tellement au diapason spirituellement qu’ils ne font plus qu’un, et sont parfois capables de ressentir les émotions l’un de l’autre (surtout en cas de danger) même séparés par une grande distance.
• Des regards brûlants.
• Des moments romantiques qui font fondre le coeur (par exemple se sauver l’un l’autre, mais pas dans le genre “demoiselle en détresse”, c’est à dire que l’héroïne n’est pas une idiote pleurnicharde, même si elle, ou lui, peut être sauvé(e) par son partenaire).
• L’intrigue peut inclure de grands gestes romantiques.
• Des obstacles peuvent séparer les héros.
• Une caresse de la main est forte.
• Tout comme une étreinte. Ou une danse. Ou un effleurement de la joue.
• Des conversations profondes.
• Un baiser est plein d’émotion et romantique, souvent avec une sorte de crescendo.
• Le héros a « habituellement » (mais il y a des exceptions notables) des manières désuètes (même s’il peut paraître impoli ou arrogant : pensez à Mr Darcy par exemple, ou carrément méchant comme Heathcliff qui fait un retour diabolique caché derrière ses bonnes manières).
• Le héros chevaleresque n’est pas mort.
• Même si les histoires contemporaines doivent se dérouler dans le monde moderne, la romance « oldfashioned » ne se focalise pas outre mesure sur les
tendances des rencontres actuelles (même si certaines peuvent utiliser des éléments « old-fashioned » et rentrer dans le cadre. « Vous avez un message » est génial !)
• L’intrigue dépasse habituellement la romance. Toutes les grandes histoires d’amour ont d’autres thèmes et intrigues secondaires mêlés à l’histoire d’amour. La romance ne doit pas sembler venir en second ou avoir été ajoutée. En général, elle est importante pour le reste de l’intrigue.
• Il doit y avoir un happy end, sauf si c’est une tragédie romantique.
• Des personnages fouillés qui valent la peine d’être découverts.
• Il ne faut pas se soucier du politiquement correct. Les personnages peuvent avoir toutes sortes de passés et d’histoires. Ainsi que différents types de personnalités et de défauts – même s’ils sont dérangeants. Ça signifie que les personnages féminins peuvent être autre chose que juste des « femmes fortes ». Elles peuvent aussi êtres douces, innocentes, égoïstes, avoir un passé tumultueux, etc. Un héros peut être à la Byron ou incroyablement sombre. L’important n’est pas « qui » ils sont, mais la façon dont l’auteur présente l’histoire.
• Cependant le héros ne doit pas être fainéant et/ou sans ambition, sauf s’il passe ensuite par une transformation majeure. Ce type de héros est l’un des problèmes des romances actuelles.
• Un amour vrai et honnête et des problèmes de tous les jours. Aider quelqu’un à surmonter une addiction ou sauver un mariage en péril est aussi très romantique. Ou un homme âgé qui aide quotidiennement son épouse malade.
• Ceci dit, la romance n’a pas besoin d’être “réaliste”, ni même forcément “saine”. Ce qui nous intéresse, c’est si oui ou non elle fait partie d’une bonne intrigue. Roméo et Juliette ou Les hauts de Hurlevent ne sont pas des romances saines, mais ce sont des histoires incroyables et captivantes.
• L’amour est un processus, ce que vous êtes prêt à faire pour quelqu’un d’autre, aussi le sacrifice est-il un autre élément communément présent dans la romance « oldfashioned ».
• L’amour à sens unique est acceptable. Dickens était un expert de ce genre d’histoire.
• Des éléments d’optimise, sans cynisme dans l’approche romantique. Il faut croire sans réserve à l’histoire d’amour.
• Montrer du respect pour les hommes et les femmes.
• Un engagement focalisé sur un seul objet.
• Il peut y avoir des éléments typiques des contes de fées.
• Même si nous aimons une bonne romance « old-fashioned », nous avons ajouté un critère moderne : nous apprécions l’égalité et la diversité.
• Une bonne narration et une grande qualité.

Et les points qui ne font pas partie d’une romance « old-fashioned » :
• Un côté explicite, que cela concerne le sexe ou la violence.
• La pornographie ou l’éloge de la pornographie.
• La vulgarité ou la crudité.
• Les dialogues remplis de grossièretés.
• Une focalisation excessive sur les moyens de rencontre modernes sans que cela soit nécessaire à l’histoire ou à la thématique. Des éléments comme les aventures d’une nuit, les aspects négatifs des rencontres en ligne (balayer du doigt la personne qui n’est pas assez belle), trainer ensemble plutôt qu’organiser un rendez-vous, la communication passive-agressive ou le manque total de communication.
• L’objectivation des femmes, la misogynie et la culture du viol.
• Les romances basées sur le simple désir physique.
• Les histoires trop cyniques ou peu sentimentales.
• Ecrites avec une attitude antagoniste vis-à-vis de la romance.
• Anti-chevaleresques.
• Manquant de connexions humaines et de liens émotionnels.
• Sans émotions.
• Dont les personnages ne restent pas fidèles à eux-mêmes.

Le blog Silver petticoat review fait remonter la romance aux auteurs classiques tels que Jane Austen ou les soeurs Brontë. Or, même si on peut sans aucun doute les considérer comme précurseurs de ce genre, on s’accorde en général à considérer que la romance en tant que genre littéraire à part  entière est née au début des années 70. Avec la romance historique d’une part, dont le roman fondateur est Quand l’ouragan s’apaise (The flame and the flower) de Kathleen E. Woodiwiss, publié aux Etats-Unis en 1972 ; et la romance contemporaine courte publiée par Harlequin d’autre part. Or d’emblée on se heurte à un problème : une histoire avec un côté explicite, que cela concerne le sexe ou la violence, ne serait pas une romance ??? Quand l’ouragan s’apaise ne satisfait définitivement pas à cette exigence. Heather, notre héroïne, subit des violences dès la première page, une tentative de viol page 29 et un double viol pages 37 et 44. Vraiment pas de chance pour elle !


Pas de chance non plus pour Rowena, qu’on trouve dans Le métis (The wildest heart) de Rosemary Rogers en 1974 : tout le monde lui passe dessus de gré ou de force, à part peut-être le train, parce qu’il n’arrivait pas aussi loin dans l’ouest sauvage. Toujours pas de chance pour Sirena dans Passions captives (Captive passions) de Fern Michaels paru en 1977, qui doit faire face à une bande de pirates avec les conséquences qu’on imagine, pas plus que pour Christina dans La fiancée captive (Captive bride) de Johanna Lindsey paru aussi en 1977, qui est enlevée, violée, séquestrée et battue par le héros inspiré du Cheik d’Edith Maude Hull.


1977 est aussi une mauvaise année pour Tamara dans L’appel de la passion (Gypsy Lady) de Shirlee Busbee, qui est également enlevée et violée, mais par le méchant de l’histoire. Et on arrive en 1978 avec Violences et passions (Love and war) de Patricia Hagan, le titre en dit long sur les tribulations de Kitty en pleine Guerre de sécession : oui elle va se faire violer, évidemment ! Heureusement en 1980 Catherine Coulter trouve une alternative au viol pur et simple de l’héroïne par le héros : l’utilisation de la crème, pour faire passer la pilule… et le reste. Mais c’est aussi l’année où Shirlee Busbee se surpasse dans Lady Vixen, avec une scène où le héros casse le bras de l’héroïne avant de la violer. Il faut dire qu’en 1978 le héros de Fern Michaels dans Sauvage Irina (Wildfire) avait carrément assommé l’héroïne avant de la violer et de l’abandonner sur place.


Il faut attendre les années 80 pour que finisse par s’effacer cette fâcheuse tendance au viol systématique de l’héroïne dans les romances historiques, alors surnommées aux USA des « Bodice rippers » (des histoires de corsages arrachés). Pendant une dizaine d’années, les premières de la romance moderne, le viol semblait un passage obligé dans la vie sexuelle de l’héroïne. Je me suis souvent demandé pourquoi.

Était-ce en rapport avec la période historique où se déroulaient les intrigues, où le sort réservé aux femmes était assez peu enviable ? C’aurait donc été par souci de réalisme que les auteurs auraient inclus toutes ces violences ? Le problème c’est que c’est elles aussi qui choisissaient ces périodes historiques : rien ne les aurait empêchées de situer leurs intrigues sous la tranquille Régence, qui fera fureur un peu plus tard. Si elles choisissaient de raconter des histoires sur fond de guerres, de conquêtes, de piraterie, n’était-ce pas au contraire pour permettre la présence de ces violences faites aux femmes ?

Longtemps je me suis dit que le fait que l’héroïne commence sa vie sexuelle par un viol était là pour s’assurer qu’elle ne soit pas considérée comme une fille facile. Dans les années 70 la révolution sexuelle avait déjà commencé, mais une femme active sexuellement n’était pas vraiment considérée comme une héroïne, digne d’être admirée. Peut-être valait-il mieux en faire une victime, qui finirait par apprécier après avoir été contrainte ?

L’autre explication possible de cette fascination pour le viol est l’aspect « passionnel ». Le fait que le héros soit incapable de contrôler ses pulsions, au point d’user de violence pour arriver à ses fins, serait tout simplement une preuve de sa passion. L’héroïne qui suscite ce désir irrésistible détiendrait une sorte de pouvoir sur lui. D’ailleurs très souvent le héros n’était pas le seul à éprouver cela pour elle : quasiment tous les mâles qu’elle rencontrait avaient un désir irrépressible de la violer à leur tour. Elle était bien la seule à ne pas se rendre compte de cet immense pouvoir de séduction qu’elle possédait. Seraitce un fantasme féminin d’être, à son insu, une bombe sexuelle ?

Pourtant, ce qui m’a sauté aux yeux en relisant Quand l’ouragan s’apaise récemment, c’est que cette scène de viol, qui arrive dès le début du livre, n’a absolument pas vocation à être sexy. Heather souffre, elle pleure, elle considère bien qu’elle a été violée, elle en veut à Brandon. J’en suis venue à me dire que peut-être, tout simplement, à cette époque de nombreuses femmes subissaient des violences, voire des viols conjugaux, et qu’il ne paraissait pas délirant de considérer cela comme une étape « normale » dans une vie de couple : au début ça fait un peu mal, mais ensuite ça va mieux…

Naturellement, on peut aussi se dire que le fonctionnement du monde de l’édition, qui a tendance à chercher à surfer le plus longtemps possible sur un succès littéraire en le reproduisant, à peu de choses près, dans ses productions suivantes, écartant par là même des romans qui auraient une tonalité différente, n’est pas non plus étranger à cette « mode » persistante du viol dans la romance historique des années 70. Cependant, de nos jours l’arrivée en force de la Dark romance remet cette question sur le tapis. Existe-t-il un fantasme du viol chez les femmes ? Un viol considéré comme passionnel du côté de l’homme, flatteur pour la femme qui en est l’objet, qui exacerbe en quelque sorte la puissance de sa féminité ? Certainement, vu le succès de certaines histoires… et après tout pourquoi pas ? Tant que cela reste de l’ordre du fantasme, il n’y a pas grand mal à cela.

Sauf… sauf que ça pose quand même la question de la poule ou de l’oeuf. Est-ce qu’on lit des histoires de viol pour assouvir un fantasme, ou est-ce qu’on a ce fantasme à cause de ce qu’on appelle maintenant dans les milieux féministes « la culture du viol » : un ensemble de « signaux » envoyés aux filles et aux garçons dès leur plus jeune âge qui leur inculquent une idée de soumission de la femme et de violence inhérente, voire nécessaire, à la virilité ? Les femmes aimeraient alors les histoires de viol parce qu’elles y ont été conditionnées, et ces lectures ne feraient que renforcer les stéréotypes malsains de la femme idéale comme une éternelle Belle au bois dormant, victime innocente et passive, et de l’homme qui doit prouver sa virilité par la domination et la violence.

Quoi qu’il en soit, il semble bien que la question du sexe et de la violence ne puisse pas vraiment être un critère pour différencier romance « nouvelle » et « old school » : il y en avait autrefois, il y en a aujourd’hui. Il est d’ailleurs amusant de remarquer que dans les années 70 chez Harlequin, les scènes de sexe étaient absolument proscrites dans la romance contemporaine courte. Il faudra attendre le début des années 80 pour qu’elles y fassent leur apparition, à la même époque donc où la romance historique commençait à s’assagir et à devenir moins sombre (dark ?), avec des auteurs comme Julie Garwood et plus tard Amanda Quick. Johanna Lindsey ira même jusqu’à retourner le cliché en 1991 dans Captifs du désir (Prisoner of my desire), qui débute par le viol du héros par l’héroïne !

Une autre question qui revient souvent quand on parle de romance « old school » est celle de la gestion du point de vue. Dans la romance « old school » l’accent serait mis exclusivement, ou principalement, sur celui de l’héroïne. Je pense que l’évolution de la gestion du point de vue est en réalité un peu plus complexe que cela.

Certes, aux débuts de la romance les intrigues où l’héroïne étaient face à un héros entouré de mystère, à la façon de Max de Winter dans « Rebecca » de Daphné du Maurier, étaient assez fréquentes. Ce genre d’intrigue appelait une narration du point de vue de l’héroïne, afin que la lectrice s’interroge avec elle sur cet homme-mystère et ses sentiments véritables. Mais on retrouve aussi cette configuration dans la première trilogie 50 nuances de Grey. Plus qu’une question d’époque, ce serait donc une question d’intrigue ?

Dans « Quand l’ouragan s’apaise », Kathleen E. Woodiwiss utilise un point de vue omniscient, qui n’est plus guère à la mode de nos jours, mais permet bien d’explorer les pensées d’Heather et Brandon, parfois au cours d’une même scène. Actuellement la narration avec alternance des points de vue d’un chapitre à l’autre est très en vogue, mais rien ne dit que cela va durer indéfiniment. Je dirais donc que la façon de gérer les points de vue dépend à la fois du style de l’intrigue et de la mode du moment, mais est-ce un critère fondamental pour différencier romance « nouvelle » et « old school » ? Je n’en suis pas sûre.

Par contre l’évolution de la différence d’âge entre les héros est, elle, assez évident. Dans « Quand l’ouragan s’apaise » Heather a dix-sept ans et Brandon trente-cinq. Dans la romance « old school », très souvent l’héroïne était jeune, aux alentours de dix-huit ou vingt ans, et le héros plus âgé, alors qu’actuellement les tendances du Young Adult ou New Adult favorisent des héros du même âge. Mais est-ce que cette évolution ne découle pas simplement de celle de la société ?

J’ai fait quelques recherches sur le sujet, et il semble que la différence d’âge moyenne dans les couples n’ait pas tellement changé ces cinquante dernières années, mais cette stabilité apparente cache en fait une évolution contrastée. Pour différentes raisons, les femmes ont toujours préféré des conjoints plus âgés qu’elles. Cependant au sortir de la seconde guerre mondiale la population des hommes plus âgés avait diminué, et la différence d’âge dans les couples a donc aussi régressé.

Dans les années 60-70 le mariage était encore la forme de couple la plus répandue, et là encore le mari était souvent plus âgé de 4 à 5 ans que sa femme. Et si de nos jours cette moyenne se maintient, elle recouvre en fait deux réalités :
• Les couples jeunes, où la différence d’âge est limitée.
• Les couples issus d’une seconde union, où l’homme est sensiblement plus âgé que la femme.

La diminution de la différence d’âge entre les héros de romance ne pourrait bien être qu’un reflet des pratiques de la société, et pas vraiment un critère de différenciation entre romance « old school » et « nouvelle » romance. Parmi les critères énoncés par Silver petticoat review, il me semble par contre que les suivants caractérisent bien la romance « old school », pas forcément celle des années 70, mais plutôt celle de la maturité du genre, dans les années 90 et au-delà :
• Un accent mis sur l’amour, l’émotion, la profondeur des sentiments et l’engagement, par opposition au simple désir.
• L’utilisation de toute la gamme des démonstrations amoureuses : regards, caresses sur la main, sur la joue, étreintes, baisers, danses, moments romantiques, grands gestes romantiques, sacrifices personnels. L’amour ne passe pas que par les relations sexuelles.
• De réels obstacles à surmonter pour le couple, qui peuvent être des problèmes de tous les jours.
• De vraies conversations, de la communication entre les héros, par opposition aux grosses incompréhensions artificielles.
• Des personnages complexes, divers, avec des défauts, mais qui restent fidèles à eux-mêmes et ne changent pas du tout au tout comme par magie, qui incarnent des valeurs telles que le respect, l’égalité et la diversité.
• Des héros masculins bien élevés, qui ont des valeurs et sont chevaleresques. En résumé : pas des connards.
• Une intrigue qui va au-delà de la romance, équilibrée entre romance et histoires secondaires.
• Un happy end, un optimisme fondamental, sans cynisme.
• Une narration de qualité.

Qu’en pensez-vous ?


Agnès

Sources :
https://www.silverpetticoatreview.com/about/old-fashioned-romance-101/

 


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